Soyez « Incorrect » ! Abonnez-vous !

Publié par le 7 Déc, 2023 dans Blog | 0 commentaire

Soyez « Incorrect » ! Abonnez-vous !

Je relaye aujourd’hui une lettre du rédacteur en chef de la revue L’Incorrect, Arthur de Watrigant (photo ci-contre).

Je suis abonné depuis un an à cette revue qui propose souvent un regard décalé sur l’actualité et des réflexions de fond sur la politique et j’en recommande la lecture.

Vous connaissez peut-être son rédacteur en chef qui est chroniqueur sur CNews et donne la réplique à Mathieu Bock-Côté dans son émission « Face à Bock-Côté« .

Voici donc la lettre d’Arthur de Watrigant suivi d’une exemple du genre d’article que vous trouverez dans L’Incorrect :

Chers amis,

Grâce à votre soutien, notamment en 2022 notre magazine n’a pas fermé ses portes l’année dernière. Notre situation était catastrophique et c’est grâce à votre aide précieuse que nous avons pu continuer notre combat cette année.

Ces derniers mois ont été riches en action et en succès pour L’Incorrect.

Notre numéro La France qu’est-ce qu’il en reste a réuni ce que notre pays fait de plus brillant pour mettre à contribution finesse et panache dans vingt pages de conversation exceptionnelle autour de sujets vitaux pour la France. Ce numéro reste à ce jour l’un de nos plus gros succès en kiosque et nous vous en remercions.

Notre numéro Les Jeunes coupent le cordon a provoqué un véritable coup de tonnerre médiatique et a permis à L’Incorrect d’être un réel acteur du débat politique à droite grâce à la couverture exceptionnelle de notre entretien croisé entre les 3 jeunes représentants des partis de droite. Durant plus d’un mois, notre Une a été partagée, reprise et mise en avant dans de nombreux médias, du service public aux grosses rédactions sur l’ensemble de l’échiquier politique.

Notre numéro Trans : Les Enfants cobayes et sa campagne d’affichage dans toute la France a provoqué l’ire des défenseurs de cette idéologie mortifère qui n’ont pas hésité à nous témoigner leur désapprobation sur les réseaux sociaux ou à travers de nombreux tags déplorés par les kiosquiers. La mairie de Paris en tête a contribué à faire monter en flèche la visibilité de cette Une et un illustre inconnu (apparemment député) a même fait part de son choc lors d’un discours à l’Assemblée.

Enfin, notre numéro Profession Collabo était une véritable prémonition. Paru un jour exactement avant l’attaque djihadiste en Israël, un jour exactement avant que La France Insoumise et son chef ne se déshonorent publiquement en niant le caractère terroriste du Hamas, renvoyant dos à dos un état démocratique et une horde de barbares. Cet événement dramatique et la réaction révoltante de ces soumis aux ennemis de France ont mené cette Une à prendre tout son sens auprès des convaincus mais aussi, et c’est le plus important, auprès des plus frileux, des plus prudents, qui n’hésitent plus depuis à reprendre en chœur ce terme de collabo.

Bien sûr d’autres numéros auront marqué cette belle année de réussite, notre dossier sur les banlieues en sécession avec la France, notre dossier sur l’immigration, notre entretien croisé entre trois éminents historiens et enfin notre numéro sur l’Histoire falsifiée par la gauche.

Notre rédaction est de plus en plus présente sur les plateaux de télévision pour porter vos idées, que ce soit sur Cnews, BFM, C8 et bien d’autres. Nous nous battrons sans relâche sans jamais rien céder !
Tous ces succès nous les devons évidemment à vous. En soutenant  L’Incorrect vous avez apporté une pierre à l’édifice du combat culturel que nous menons sans relâche et malgré les offensives toujours aussi lâches de nos contradicteurs.
Malheureusement, en rançon de cette réussite, nous ne nous faisons pas que des amis. Nous ne comptons plus les menaces de mort et les dégradations jusqu’à nos portes de bureau. Les procès s’accumulent et comme vous le savez les procédures sont longues et coûteuses

Si jusqu’à aujourd’hui nous n’avons jamais perdu un procès, nos frais de justice ne nous sont jamais remboursés. En 2023, ils ont dépassé les cinquante milles euros. De plus, nous avons été confrontés à une hausse très importante du prix du papier, plus de cinquante pour-cent.

C’est pourquoi nous devons une nouvelle fois faire appel à vous et à votre générosité. L’avenir de L’Incorrect en dépend.
Chers amis, nous avons besoin de votre soutien plus que jamais, vous pouvez faire un don en ligne ici : https://www.credofunding.fr/fr/associations/l-incorrect

Merci.

Arthur de Watrigant.

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Voici, en exemple, un article qui dresse le portrait de Christophe Dechavanne passé du rôle de saltimbanque débridé à celui de commentateur politique incompétent :

Terminus pour … Christophe Dechavanne

Un boomer cathodique ne meurt jamais. Par définition.

Vampire des mille générations qui le suivent, cet infatigable tardigrade télévisuel refuse catégoriquement de laisser sa place, il se cramponne à ses acquis de tous ses membres empoisonnés, perfusés par la vilénie du siècle finissant. Ivre encore des fumigations et des alcaloïdes qui avaient cours pendant l’âge d’or – les années 80 sur lesquelles le boomer fait sa gloire, pondu ses œufs stériles, creusé les galeries de son
innocuité politique -, le Géronte à face gommée, cheveux reprisés, veut à tout prix renaître constamment, fût-ce marqué par le sceau du grotesque, fût-ce à travers une matrice d’ordures.

Voyez, Christophe Dechavanne. Si vous avez moins de 30 ans, vous ne pouvez pas comprendre. Vous ne savez pas vraiment qui est Christophe Dechavanne, ce triste sire que la production de France 2 a tiré de son bain de formol pour le placer toutes les semaines en face de Léa Salamé, bombardé « sniper en chef » de son talk-show Quelle Époque. On a voulu en faire un Laurent Baffie, un artisan de la réplique cinglante, il n’est que concierge de pissotière, veillant à encadrer les propos des invités dans une logique de cuisiniste, dans la pensée panurgique de ces néo-vieillards pour qui le combat politique se résume à quelques slogans mitterrandistes et une obsession pour la « capote » – oui, Dechavanne se targue
cycliquement d’être à l’initiative de l’opération, « capote à un euro », action domaniale pour laquelle il a reçu le titre de Chevalier des Arts et Lettres, vilain relent de l’époque Sida dont ce pauvre hère ne semble jamais être sorti – sans se rendre compte que la génération Z sait à peine de quoi il s’agit, il paraît que maintenant ça s’guérit …

Peu importe ! Dechavanne débarque à chaque début d’émission sur du AC-DC, certain d’être ultra rock’n’roll, d’être l’incarnation même du cool, alors que tout le monde (à commencer par Léa Salamé) semble gêné par ce triste sire … Mais qui est ce type, en fait ? Retour dans les années 80 (louées soient-elles). La tranche horaire du soir (le fameux access prime time) est l’objet d’un duel sans merci entre les deux plus grosses chaînes françaises (TF1 et Antenne 2). Vous comprenez, dans la France de Bernard Tapie et des pubs Menthos, on n’a pas encore de plateforme de streaming. Alors il faut appâter le Français avec du concept. Christophe Dechavanne, poulain d’Étienne Mougeotte, sera mis la tête de Coucou c’est nous, une émission qui résumait à elle seule tout l’esprit TF1 : racoleur, sensationnaliste, cultivant l’éthique d’un couvercle de poubelle – c’est-à-dire destiné à cacher la progressive puanteur qui se dégageait des plateaux de télévision. Et il faut dire qu’il était bien choisi, Dechavanne.

Avec sa gueule tout en longueur et ses yeux vitulins, il avait tout du yuppie cathodique, modelable à l’infini. Une sorte de trader de l’access prime time, sans cravate, veste trop large sur son corps efflanqué, travaillé aux macrobiotiques … Espèce particulièrement létale de camelot luxueux, il présentait son émission comme une sorte de télé-achat libidineux, secondé par une cohorte de potiches et de chroniqueurs navrants censés le faire reluire à peu de frais (n’importe qui passait pour un énarque à côté de Patrice Carmouze). Voilà pour le tableau. Dieu seul sait pourquoi Delphine Ernotte a repêché ce brocanteur dans les basses-fosses de la télé réalité, mais tout le monde s’en serait bien passé. Dechavanne lui-même, d’ailleurs, qui affiche systématiquement une gueule enfarinée, mauvaise, allant jusqu’à déserter l’émission en plein milieu, prétextant une « intrusion » chez lui … probablement la Police du Bon Goût ?

Marc Oregon pour l’Incorrect.

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