Stop à la repentance permanente qu’on nous impose !

Publié par le 16 Mar, 2021 dans Blog | 5 commentaires

Stop à la repentance permanente qu’on nous impose !

Comme nous le rappelle régulièrement Eric Zemmour, pratiquement tous les pays ont été colonisés et tous ont été colonisateurs à une époque de leur histoire.

Mais pour certaines populations immigrées et pire, pour certains groupes de Français, seule la colonisation de l’Afrique par les Français doit être pourfendue et doit être l’objet d’une expiation éternelle.

La France insoumise, les Indigènes de la République,  la Ligue de défense noire africaine et quelques autres sont en pointe dans ce combat inique.

Rokhaya Diallo et Lilian Thuram toujours en pointe dans le combat décolonial

Il est temps de dire STOP et de refuser de se soumettre à ces injonctions mortifères pour l’union nationale et aussi pour l’identité française.

Et de faire nôtre, cette déclaration de Napoléon qui m’a été suggérée dans un commentaire :

« De Clovis au Comité de salut public, j’assume tout ! »

Valeurs actuelles, dans cet article, nous fait découvrir lADN, une association contre la “repentance perpétuelle” de nos élites.

Créée en novembre dernier, l’Association pour la Défense de la Nation (ADN) entend affronter les idéologies qui culpabilisent la France. Une vision portée par Gaël Nofri, son président et créateur. 

Dans sa récente interview pour le média en ligne Brut, Emmanuel Macron s’était indigné : « Une part de notre histoire n’est pas représentée. » Pour y remédier, le président de la République a donc demandé à son administration de dresser une liste de personnes issues de la diversité pour renommer des rues de France. Une annonce qui a aussitôt révolté Gaël Nofri, président de l’Association pour la Défense de la Nation (ADN) et maire adjoint à la mairie de Nice « en charge aussi des noms de rues ». Historien de formation, l’élu local ne supporte plus la « repentance perpétuelle » de la classe politique. Les déclarations du chef de l’Etat l’ont tellement stupéfait qu’il a décidé de créer cette nouvelle organisation pour combattre « une mémoire communautaire qui produit des destins communautaires, ce qui est contraire au projet national français ». 

La réhabilitation de notre passé contre les approches indigénistes

Le 5 mai prochain, la France fêtera le bicentenaire du décès de Napoléon et plusieurs voix s’élèvent déjà à gauche pour qu’aucune commémoration publique ne lui soit rendue. L’historienne Myriam Cottias, directrice de recherche au CNRS, a ainsi estimé dans L’Obs que Napoléon est « un fantasme de domination guerrière […], c’est vraiment la France poussiéreuse ». « Le commémorer, c’est faire de l’apologie de crime », a même renchérit Louis-George Tin, ancien président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN), dans Le Parisien.

C’est contre ce genre d’approches de l’histoire de France que lutte l’ADN. Pour Gaël Nofri, elles correspondent à des visions partielles de notre passé, motivées par un militantisme partisan. « Napoléon, c’est celui qui a fait une synthèse entre la pensée moderne et l’héritage ancien, l’exportateur d’une idée de la liberté en Europe, ou encore le créateur de grandes institutions. On en est réduit au rétablissement de l’esclavage », dénonce l’historien, pour qui les détracteurs du petit Caporal ne comprennent pas la complexité de l’homme. Plus généralement, l’ADN scrute l’histoire française dans son intégralité et pas seulement dans « la recherche systématique de preuves de notre culpabilité, qui cherche à établir que nous sommes de perpétuels bourreaux ». 

« Une nation, c’est aussi le partage d’un passé commun »

Scruter, connaître, étudier l’histoire sont les raisons d’être de l’ADN. « Comme le soulignait Ernest Renan, une nation n’est pas que la volonté de vivre ensemble. C’est aussi le partage d’un passé commun », rappelle Raphaël Dargent, membre de l’association et président de son comité scientifique. Cet historien souligne aussi l’imbrication très forte entre l’histoire et le concept de nation. « Le tort de notre époque est de ne voir que les pages sombres de notre histoire. Comment voulez-vous être fier de votre pays si on vous explique que votre pays s’est mal comporté ? », argue Rapahaël Dargent. Plus prosaïquement, il explique que cette « autoflagellation permanente » détourne de nombreux citoyens de la fierté d’être français. Or, ce partage d’un passé commun constitue le fondement de l’idée nationale française. Un constat qui a justifié la création de l’ADN.

Une association politique mais apartisane

Dans une lettre, adressée à Emmanuel Macron, à la suite de la remise du rapport Stora sur la colonisation et la mémoire de la guerre d’Algérie, l’association s’est définie comme « engagée mais apartisane ». Une distinction entre « politique » et « partisan » essentielle à ses yeux. « Des personnes de nombreux bords politiques viennent à nous », précise Gaël Nofri. « La nation est un concept qui surpasse les antagonismes partisans », ajoute Raphaël Dargent. Par ailleurs, l’ADN  n’est liée à aucun parti. « En revanche, nous défendons une position politique, une certaine conception de la nation que nous jugeons nécessaire de préserver », assume l’association. A l’avenir, le jeune mouvement ne souhaite pas investir le combat électoral, mais Raphaël Dargent espère toutefois qu’il laissera dans son sillage « des études » et « des rapports » sur lesquels s’appuieront les autorités publiques. Un rôle d’influenceur de la classe politique et de la société.

Charles Paliard pour Le Club de Valeurs actuelles.

Voici une vidéo dans laquelle Gaël Nofri présente son association dans l’émission Le Grand Direct d’AZUR TV, présenté par Nicolas Galup et Eric Revel.

La présentation de Gaël Nofri commence 46 minutes après le début de la vidéo :

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5 Réponses à “Stop à la repentance permanente qu’on nous impose !”

  1. Si les gens de couleur se sentent opprimés en France (comme dans d’autres pays), c’est qu’ils ne se sentent pas français et ils ont la possibilité d’aller vivre dans des pays où ils ne seront pas ostracisés, et donc s’ils restent sur notre sol, c’est UNIQUEMENT pour les avantages plus importants que les ennuis.
    Qu’ils s’en prennent à leurs parents de les avoir mis au monde, mais pas au pays dans lequel ils ont choisi de vivre.
    Ils ont bien peu de considération pour eux-mêmes s’ils n’assument pas la couleur de leur peau.

  2. De Clovis au Comité de salut public, j’assume tout a dit Napoléon.

    Nous avons des dirigeants, et une grande partie du peuple qui n’assume plus rien de notre Histoire. C’est ainsi que les civilisations périssent.

  3. « Une part de notre histoire n’est pas représentée »

    Exact.
    Aussi, je suggère une journée de commémoration (allez une de plus, au point où on en est) des victimes de l’esclavagisme des blancs : pour=
    ***traite des blanches (qui existait hélas encore dans la fin des années 60)
    Un monument avec une superbe statue en marbre blanc, selon le style des sculptures grec ou italien

    *** esclavage de jeunes blancs, qui plus est castrés (eunuques) afin qu’ils ne fassent pas de métisses avec les demoiselles d’Afrique du Nord, surtout si ces beaux jeunes hommes blancs étaient chrétiens
    (n’oublions pas que la chrétienté, date de 6 siècles avant mohammed , mohammed qui a plagié la Bible à son avantage et rajouté des « idéaux » barbaresques)
    Là encore avec de superbes sculptures sur les places des mairies

    *** Remise en exergue l’anniversaire de la victoire de Charles Martel (même si les historiens ne sont pas tous d’accord sur la date exacte), avec un monument aux morts anonymes tombés sous les coups de ces barbares.
    Avec fête aux jambons, charcuteries, le tout arrosé de bières avec une (ou plusieurs) goutte(s) de Cognac…

    A part cela, j’ai beaucoup apprécié l’article de J Messiha sur V.A., qui fait une excellente réponse à celui de Christian adroite
    https://www.valeursactuelles.com/societe/pour-sauver-la-jeunesse-vidons-la-fosse-septique-du-rap-haineux-anti-francais-129484

  4. La France a été envahie en 1940 (sans oublier les 2 autres guerres) et a dû subir la gestapo en plus, est-ce que l’on doit éternellement vouer l’Allemagne et toute leurs futures générations à l’expiation ?

    N’y a t-il pas un moment où il faut avancer ensemble et faire preuve de bons sens et de maturité intellectuelle plutôt que de rechercher la division perpétuelle qu’ont provoquée des générations anciennes dont nous ne partageons pas les mêmes idées qui ont depuis bien évoluées ?…

    Sommes-nous responsables à perpétuité de toutes les générations passées ? Non, alors regardons l’avenir et construisons-le pour le mieux.

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