Vaccin anti-covid : la vérité commence à poindre …

Publié par le 13 Jan, 2023 dans Blog | 1 commentaire

Vaccin anti-covid : la vérité commence à poindre …

Alors que sur les réseaux sociaux, les témoignages et les études scientifiques ont établi, sans conteste possible, la gravité des effets secondaires des vaccins ARN Messager et de la terrible protéine Spike, les médias généralistes français se complaisent dans un autisme coupable dont ils auront prochainement à rendre compte.

Mais, ça bouge dans les médias !

Je note que ce sont les médias de droite qui commencent les premiers à rompre l’omerta sur le sujet. Ça n’étonnera personne que ce soit les médias les plus éloignés du pouvoir qui  osent rompre les premiers cette omerta !

J’ai déjà salué, dans cet article précédent (La surmortalité liée aux vaccins n’est plus à démontrer !) l’émission Face à l’info dans laquelle Christine Kelly avait osé comparer le scandale du pesticide chlordécone avec les effets secondaires des vaccins ARN, appuyée par Marc Menant qui avait rapporté les chiffres officiels alarmants de l’Agence nationale de sécurité du médicament !

Et voici que Valeurs actuelles consacre un article complet et très documenté aux effets secondaires propres aux femmes.

Avant de vous livrer cet article, je rappelle que des grands principes tirés de l’expérience de centaines d’années de lutte contre les épidémies, ont été bafoués par les pouvoirs politiques et sanitaires :

  • On ne confine jamais toute une population mais seulement les personnes contaminées,
  • On ne vaccine jamais massivement une population alors que le virus est en circulation (risques élevés de créer des variants),
  • On évite de vacciner les femmes enceintes et on s’interdit de le faire avec un produit expérimental.

Vaccin contre le Covid : la fertilité en danger ?

Ménopause précoce, règles hémorragiques, endométriose fulgurante, retour des règles chez les femmes âgées, fausses couches… Un lien de causalité entre les injections contre le Covid et les troubles du cycle menstruel est établi. Pourtant, celles qui en souffrent se voient taxer de “stressées” ou d’ “hystériques”, voire d’abominables “complotistes”.

Aux urgences, le verdict tombe : elle est atteinte d’adénomyose, une endométriose de la paroi interne de l’utérus. Elle interroge timidement les médecins qui la prennent en charge sur un possible lien avec la vaccination : 

Ça n’a strictement rien à voir. Il faut cesser avec ces théories fumeuses complotistes.

se voit-elle rabrouée. Après la troisième dose, Marine n’a plus de règles du tout. La jeune femme, qui rêve d’être maman, s’était lancée dans un parcours PMA. Un autre couperet tombe, plus déchirant encore que des règles hémorragiques :

une ménopause précoce, à seulement 32 ans.

Mais les douleurs au ventre, sadiques, ne se taisent pas pour autant. Si aiguës que, un beau jour, elle s’effondre, prise de convulsions. Enchaînant les médecins, on lui détecte, cette fois, une arythmie cardiaque et des kystes au cerveau. Marine traîne ses maux, ses interrogations, ses doutes, ses peurs, seule, sur le lino couinant et froid des hôpitaux. Pour le corps médical, elle est seulement trop « stressée », peut-être un peu « surmenée ». Pour clôturer la valse des spécialistes consultés, un psychiatre la diagnostique même bipolaire, elle qui n’en a pourtant aucun des symptômes.

Combien sont-elles, comme Marine, à se prendre un mur d’inhumanité, sinon de déni du corps médical, en pleine face ? À s’entendre traiter au mieux de « stressées », au pire d’ « hystériques », voire d’abominables « complotistes » ? Combien sont-elles alors à préférer se terrer dans le silence ?

Les “ragnagnas”, les “coquelicots”, les “Anglais qui débarquent” sont autant de périphrases, démontrant s’il le fallait le tabou des règles, un « truc de bonne femme » qu’elles doivent gérer en cachette. Au printemps dernier, quelque 10 000 cas de troubles du cycle menstruel post-vaccination Covid avaient été remontés par les centres de pharmacovigilance depuis le début de la campagne vaccinale en France.

Un chiffre largement sous-évalué et que l’on peut facilement multiplier par 10 si l’on veut se faire une idée plus précise de la situation ! Les médecins n’ayant tout simplement pas l’envie sinon le temps de s’encombrer de paperasse à chaque eff et indésirable “suspecté” d’être en lien avec le vaccin.

nous explique Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet.

Pour se faire une idée du phénomène, deux chercheuses américaines, Kathryn Clancy et Katherine Lee, elles-mêmes aux prises avec des règles hémorragiques post-vaccination, ont publié une étude, en octobre 2021, révélant que 42 % des femmes souffraient de désordres de leur cycle après les injections. Parmi la litanie des pathologies recensées : retour des saignements chez les femmes ménopausées, règles anormalement abondantes, douleurs inhabituelles, perturbations hormonales inexpliquées…

Pourtant en France, les autorités sanitaires continuent à minimiser ces maux. Pour le professeur Daniel Floret, vice-président de la commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de santé,

les injections ont une possible incidence sur l’allongement des cycles menstruels de quelques jours, mais tout rentre dans l’ordre les cycles suivants. Si les règles hémorragiques commencent à être documentées, je ne crois pas un mot d’effets déclenchant des ménopauses précoces. ​

Comme Marine, Mélodie Feron, ébéniste de 37 ans, a vu son corps devenir l’orchestre d’une symphonie tout en dissonances. Elle, dont les rythmes menstruels sont réglés comme un métronome, voit, dix jours après la deuxième injection de vaccin Pfizer, des saignements hémorragiques survenir de manière erratique. Les douleurs dans le bas du ventre qui la tenaillent lui font d’abord penser à une fausse couche. Anémiée et épuisée, Mélodie prend 10 kilos en un an, les sautes d’humeur la font passer du rire aux larmes. « Moi qui connaissais par cœur mon corps, là, il ne m’appartenait plus », nous confie-t-elle.

Les médecins qu’elle consulte balaient, là encore, d’un revers de la main un possible lien avec la vaccination et lui opposent son « stress » comme unique source de ses maux. Pourtant, Mélodie sent que quelque chose cloche et que ce quelque chose est bel et bien survenu juste après cette « foutue » vaccination ! Au détour d’apéros entre « nanas », elle s’aperçoit qu’elle n’est pas la seule à vivre de tels désordres post-vaccination.

Face à l’omerta régnant sur ce sujet sur Internet, Mélodie se décide à créer un compte Instagram baptisé Vaccin_ menstruel. En quelques semaines, le nombre d’abonnés explose (18 000 en moins d’un an d’existence), plus de 9 000 témoignages affluent sur sa boîte mail. « Certains étaient particulièrement poignants, allant d’une maman désemparée face à la disparition totale des règles de sa jeune fille de 13 ans aux seins désormais atrophiés, à la petite mamie isolée dans un désert médical, apeurée face au retour des saignements… », relate-t-elle.

Sur son répondeur, 47 messages clignotent

Mue en lanceuse d’alerte, Mélodie Feron crée alors le collectif “Où est mon cycle ?” et rédige le livre du même titre paru en septembre dernier, recensant ces vies bouleversées et analysant avec l’aide d’une gynécologue les effets possibles de ces vaccins sur les cycles menstruels.

Dans son cabinet en Belgique, la gynécologue Laurence Kayser décrit pour nous l’intensité et la fréquence anormale des pathologies qu’elle a pu observer ces derniers mois chez ses patientes : règles hémorragiques ou aménorrhées, fulgurance d’adénomyose ou d’endométriose, retour des saignements chez des femmes ménopausées, cancers du sein, fibromes, polypes, kystes… mais aussi des fausses couches, des bébés anormalement petits, des malformations de nouveau-nés.

Sur son répondeur téléphonique, 47 messages en attente clignotent. Médecin clinicien, elle écoute les maux de ces femmes, les croit et tente de réparer leurs corps bousillés.

Je n’ai pas d’explication, mais c’est comme si la protéine Spike des vaccins agissait comme un perturbateur endocrinien envoyant un trop-plein d’œstrogènes.

tente-t-elle de déchiffrer.

Son intérêt pour ces femmes lui a valu pour l’heure quatre convocations par le Conseil de l’ordre et sa réputation, forte de vingt-cinq années de pratique, entachée sur les réseaux sociaux, l’affublant de l’étiquette “complotiste”.

Dès l’apparition du virus Sars-CoV-2, la généticienne Alexandra Henrion-Caude a alerté des risques que pourrait faire peser la protéine Spike du virus sur la fertilité. Selon ses recherches, elle viendrait se nicher dans les ovaires, les testicules et le placenta, organes hypervascularisés. À la différence d’une infection virale que notre système immunitaire combat, la vaccination par ARN messager a pour stratégie la production par notre corps de cette protéine Spike pour créer des anticorps. Et à ce jour, on ne sait toujours pas pendant combien de temps notre corps est transformé en usine à synthèse de Spike.

Par conséquent, affirmer de façon péremptoire que le vaccin n’a pas d’incidence sur la fertilité comme sur les grossesses est une aberration tant nous manquons de recul !

 s’insurge la généticienne.

Aucun essai réalisé sur les femmes enceintes

À l’été 2021, afin d’inciter les femmes enceintes à se faire vacciner, le ministre de la Santé, Olivier Véran, faisait claquer ses gants en latex avant de saisir la seringue et en injectait le contenu dans le bras de sa collègue secrétaire d’État Olivia Grégoire, alors enceinte de cinq mois, sous les crépitements des flashs. « Tu es entre de bonnes mains, il n’y a aucun risque ! », la rassure-t-il.

Pourtant, la vaccination des femmes enceintes s’est toujours faite avec parcimonie. Depuis des décennies, seul le vaccin contre le tétanos est injecté et depuis le printemps 2022, celui contre la coqueluche.

Comme c’est le cas pour tout essai clinique, aucun laboratoire n’a incorporé de femmes enceintes avant leur mise sur le marché ! Seuls des essais précliniques ont été effectués sur des rates. Pfizer a lancé un essai sur les femmes enceintes, qui est terminé depuis juillet et pour lequel nous n’avons toujours pas de données.

nous apprend la biostatisticienne Christine Cotton, qui a épluché un à un tous les essais des différents labos.

Rien d’alarmant pour le professeur Daniel Floret :

Nous avons injecté des millions de femmes enceintes aujourd’hui et les données restent rassurantes et solides. Attraper le Covid est dangereux pour la mère comme pour le nourrisson, la balance bénéfices-risques est indiscutablement positive !

soutient-il.

L’été dernier, face au silence des autorités sanitaires et du ministère de la Santé devant l’ampleur des témoignages de troubles menstruels, une pétition recueillant quelque 36 000 signatures, a conduit le Sénat à ouvrir un cycle d’auditions au sein de l’Opecst (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques). L’organe bicaméral a pour mission d’informer les parlementaires des conséquences de leurs choix en matière scientifique.

À l’issue des auditions, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a admis officiellement un lien de causalité entre la vaccination et ces troubles. Une véritable reconnaissance de leur souffrance pour toutes celles qui endurent depuis des mois la douleur dans le silence.

Nous avons été très surpris que l’EMA [Agence européenne des médicaments, le pendant européen de l’ANSM, NDLR] ne reconnaisse à ce jour, seules les règles hémorragiques comme possible effet indésirable de la vaccination

s’étonne l’ancien député Cédric Villani, qui présidait alors l’Opecst. Étonnant, d’autant que Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale de l’ANSM, a été élue, quelques jours après son audition, vice-présidente du conseil d’administration de l’EMA. Nous avons tenté de la joindre pour obtenir quelques explications, sans succès.

Si le lien de causalité semble désormais établi en France, reste alors à définir la responsabilité. Les contrats négociés par textos entre les laboratoires pharmaceutiques et Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, sont opaques.

Présentés aux parlementaires européens en grande partie caviardés, ils exempteraient les laboratoires de toute responsabilité en cas d’effets indésirables. Celle-ci reviendrait aux seuls États.

L’avocate Diane Protat, spécialisée dans la réparation de préjudices corporels, représente le collectif “Où est mon cycle ?”. Loin de craindre de s’attaquer aux méandres du droit européen, elle s’est plongée dans les milliers de pages de règlements. Elle plaide d’emblée la nullité même de ces contrats.

En les signant, la présidente de la Commission européenne s’est arrogée des pouvoirs qu’elle n’avait pas, malgré le mandat d’urgence octroyé par les États. Quant à la responsabilité des labos, en cas d’une volonté manifeste de nuire ou de produits défectueux, elle redevient pleine et entière. N’évitant pas la contamination, le produit est bien inapte aux effets qu’il défend.

Le combat, titanesque, est bel et bien celui de David contre Goliath.

Patricia de Sagazan pour le Club de Valeurs actuelles.

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Une réponse à “Vaccin anti-covid : la vérité commence à poindre …”

  1. Enfin, un autre journal en parle aussi.

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