Vaccins ARN : quelques nouvelles du front …

Oui, il n’est pas illégitime de parler de front quand on évoque la guerre politico-médiatique qui se déroule presque partout dans le monde ! Cette guerre oppose :

– D’un côté l’état profond et la plupart des médias, qui font tout pour étouffer le scandale des terribles effets secondaires des vaccins ARN,
– De l’autre des scientifiques et des médecins honnêtes qui tentent d’informer la population des conséquences de la vaccination sur la santé.

Suivant les pays, et leur niveau de démocratie, cette guerre se déroule soit devant les tribunaux (Allemagne, Australie), soit au niveau politique (Etat de Floride), soit sur les réseaux sociaux.

La France tient un rôle peu ragoûtant avec des médias généralistes (radios, télévisions, presse généraliste) pratiquant une censure et une omerta quasi totales sur les effets secondaires des vaccins.

En France, la seule façon de s’informer, ce sont les réseaux sociaux, ce dernier espace de liberté mais que le « système » veut faire taire.

En Europe, Thierry Breton vient de lancer le « Digital Services Act » qui ouvre la porte à un contrôle serré des opinions qui diffèrent de la pensée dominante.

En France, le gouvernement projette d’obliger les navigateurs Web à interdire l’accès à certains sites désignés par le gouvernement (voir cet article).

Voici quelques informations sur les vaccins ARN dont vous n’entendrez jamais parler sur les JT de TF1 ou de France 2 :

1 – La surmortalité des vaccinés en Angleterre

Il y a très peu de pays qui donnent un accès public à leurs statistiques de décès suivant le statut vaccinal des personnes décédées.

Car il s’agit d’informations très sensibles. Effectivement, comment justifier un vaccin qui ne ferait pas baisser le taux de décès d’une maladie donnée ?

Pendant quelques temps, l’Angleterre a été l’un des rares pays à donner accès à ces données. Des scientifiques ont traité ces données et dès la publication des résultats, l’Angleterre a fermé l’accès à ces données !

Voici un graphique issu de l’une de ces études réalisées à partir des données officielles britanniques :

Pour les mois de janvier 2023 à mai 2023, le graphique affiche le nombre de décès dus au Covid. Les morts vaccinés sont en rouge, les non vaccinés en bleu. Le pourcentage de morts vaccinés est affiché en rouge en haut de chaque colonne.

Les résultats sont sans appel !

Parmi les morts du Covid, la proportion de personnes vaccinées varie de 94,6 % à 95,6 %. Si le vaccin fonctionnait, cela devrait être l’exact inverse !

Et les covidistes prétendent encore que le vaccin les protège des cas graves …

Des cas graves, peut-être … mais pas de la mort !!!

2 – Les contrats de vaccin ARN dans l’oeil de la Justice

Là encore, vous n’entendrez pas parler à la télévision française de ces enquêtes mettant en cause Ursula Von der Leyen et l’U.E. pour l’opacité des contrats d’achat de vaccins ARN.

Cet article de FranceSoir nous montre que la télévision allemande, elle, enquête sérieusement sur ces contrats. En résumé, voici les plaintes en enquêtes en cours :

• Une procédure menée par l’Association Bon Sens*, initiée en France le 10 janvier 2022, qui vise à faire reconnaître la nullité des contrats d’acquisition des vaccins anti-Covid-19 conclus entre l’UE et les laboratoires pharmaceutiques.
• Une deuxième procédure initiée par la même association introduite aux États-Unis le 19 décembre 2022, qui vise à obtenir la publication des SMS échangés entre Albert Bourla et Ursula von der Leyen.
• Une procédure lancée par le New York Times le 13 février 2023, afin de contraindre la commission européenne à publier les SMS précités.
• Une plainte pénale déposée dans son pays par le lobbyiste belge Frédéric Baldan le 5 avril 2023, vis-à-vis du contrat de 1,8 milliard de doses. Il s’agit selon lui de faire toute la lumière sur cet achat massif dont la négociation a, manifestement, court-circuité un comité de pilotage chargé de jauger les offres. Ursula von der Leyen ne dispose d’aucun mandat en ce domaine.

3 – En France, l’INSEE affiche une grave surmortalité chez les petites filles

Une surmortalité est détectée en population générale :

En moyenne sur les années 2020 à 2022, c’est une surmortalité de 8,4 % qui est observée !

Nota : on remarque que la surmortalité démarre dès 2020 avant la vaccination. On ne peut donc pas attribuer au vaccin toute la responsabilité de cette surmortalité. Comme autres causes, on peut évoquer le confinement et le retard de soin induit, la surmortalité notamment dans les Ehpad où on ne soignait pas les patients sinon au rivotril …

Mais, plus grave est la situation des jeunes enfants !

Voici un tableau similaire limité aux enfants de 5 à 9 ans :

La surmortalité des jeunes enfants – qui ne risquaient absolument rien du covid – monte à 22 % !

Le sexe a t-il un effet sur la surmortalité des enfants ?

Voici la surmortalité des petites filles âgées de 5 à 9 ans :

On atteint ici le chiffre terrifiant de 33 % (13 % pour les petits garçons). Cela signifie que lorsque dans le passé il mourrait trois petites filles, une quatrième a succombé en 2022 !

A quel chiffre doit-on arriver pour que les médias daignent en parler et que les autorités stoppent IMMEDIATEMENT la vaccination des enfants ?

Je pourrais continuer par d’autres exemples mais je conclurais en rapportant que le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, s’apprête à mettre fin, dans toute la Floride, aux discriminations fondées sur le statut vaccinal (fin du masque et de la vaccination obligatoires).

Conclusion

La presse française n’est-elle pas irresponsable voire criminelle quand elle n’informe pas les parents des risques de la vaccination, à partir des données officielles française ?

Et que dire d’Emmanuel Macron, de tous ses ministres de la santé et des responsables de la santé en France ?

Tout ceci devra être porté devant les tribunaux tôt ou tard !

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