Vouloir effacer une rumeur, c’est la propulser !

Publié par le 28 Sep, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Vouloir effacer une rumeur, c’est la propulser !

Une affaire de Cornecul !

Une affaire de Cornecul est une affaire complètement folle, insensée à laquelle personne ne comprend rien.

Le vocable convient de plus en plus à « l’affaire Jean-Michel Trogneux », non sur le fond, mais par la faute des intéressés eux-mêmes, Brigitte et Emmanuel Macron.

Une rumeur accuse Brigitte Macron d’être en fait son frère, Jean-Michel Trogneux, et d’avoir fait une transition de genre vers son personnage de femme.

La stratégie de défense des Macron, face à la rumeur qui prétend que Brigitte Macron est née homme, est incompréhensible au moins sur les deux points suivants :

    1. La rumeur cesserait immédiatement si Brigitte se montrait en public avec son frère Jean-Michel. Mais elle ne le fait pas et personne ne sait ce qu’il est advenu de ce dernier. Pire, le personnage de Jean-Michel disparait au moment où celui de Brigitte apparait !

 

  1. Les Macron n’ont pas porté plainte contre le livre de Xavier Poussard « Becoming Brigitte » très documenté sur le doute existant sur le sexe de Brigitte mais le font aujourd’hui, devant la justice américaine, contre une influenceuse américaine, Candace Owens, qui n’a fait que reprendre et médiatiser les informations révélées par Xavier Poussard.

Ainsi, au lieu de tuer instantanément la rumeur, il lui donne un retentissement international avec ce procès en diffamation qui se retourne contre eux du fait de la nature de la Justice américaine.

En effet, aux Etats-Unis,  la liberté d’expression est une notion sacrée contrairement à la conception qu’en a la France et particulièrement la Macronie  !

De plus, contrairement à la justice française qui aurait demandé à Candace Owens de prouver que Brigitte est née homme, la Justice américaine va exiger de Brigitte qu’elle prouve l’inverse !

Il semblerait que les preuves photographiques fournies par Brigitte Macron à la Justice américaine aient été jugées insuffisantes. Avec le risque qu’elle exige des tests physiologiques (ADN prélevé devant huissier, ou même pire), des tests humiliant pour la « première dame de France » !

Côté photographies, Xavier Poussard en produit d’assez convaincantes :

Voici un article de la Lettre patriote qui développe ce sujet.

Je relaye cet article intéressant dans son analyse de la stratégie des Macron mais je ne partage pas sa position qui fait l’hypothèse que la rumeur est totalement infondée !

En effet, après avoir lu le livre de Xavier Poussard, je rejette les termes utilisés dans l’article : rumeur absurde, fantasmes de quelques illuminés, professionnels du complot, qui écarte l’hypothèse que je considère comme la plus probable !

Brigitte Macron : quand une rumeur dit plus sur
la fragilité du pouvoir que sur la vérité des faits

Le couple présidentiel est lancé dans une croisade judiciaire planétaire pour faire taire la rumeur « Jean-Michel Trogneux ». Des avocats prestigieux, des preuves scientifiques promises à un tribunal américain, des communiqués indignés, et désormais une riposte à grand spectacle. Emmanuel et Brigitte Macron veulent laver l’honneur de la Première dame.

Mais à quel prix ?

Car ce que révèle cette affaire, ce n’est pas seulement la violence des réseaux sociaux. C’est surtout la fragilité d’un pouvoir qui, au lieu d’ignorer une rumeur absurde, la nourrit en s’y attaquant frontalement. Résultat : ce qui n’était hier qu’un bruit de fond sur YouTube est devenu aujourd’hui un feuilleton international, avec Candace Owens, star conservatrice américaine, comme porte-voix et un livre à succès en prime.

On appelle cela l’effet Streisand : vouloir effacer une rumeur, c’est la propulser. Emmanuel Macron, pourtant si habile communicant en 2017 lorsqu’il tournait en dérision les insinuations sur sa vie privée, semble l’avoir oublié. En choisissant de transformer l’affaire en bras de fer judiciaire, il confère à ses adversaires une légitimité qu’ils n’auraient logiquement jamais pu avoir.

La question n’est pas de savoir si Brigitte Macron est une femme. La question est de comprendre pourquoi le chef de l’État s’abaisse à courir après les fantasmes de quelques illuminés. Un président de la République devrait incarner une autorité sereine, au-dessus des marécages numériques. Or, en réagissant comme un justiciable ordinaire, Macron réduit sa fonction et s’expose à devenir prisonnier du ridicule qu’il voulait combattre.

Et puis il y a ce paradoxe : dans un pays où tant de Français se sentent abandonnés, où l’insécurité progresse, où la justice peine à suivre, voilà que l’énergie présidentielle se concentre sur … la réputation conjugale de l’Élysée. On nous répète qu’il s’agit d’« honneur ».

En réalité, c’est un aveu d’impuissance : le pouvoir ne supporte pas d’être moqué, contesté, tourné en dérision.

Les professionnels du complot prospèrent sur ce terrain parce qu’ils sentent la fébrilité. Plus le couple Macron s’agite, plus il confirme qu’il a quelque chose à perdre. La rumeur, elle, n’a pas besoin de preuves pour survivre : il lui suffit d’un doute. Et c’est précisément ce doute que la stratégie judiciaire entretient.

Au fond, la question n’est pas Brigitte Macron. La question est de savoir si l’État, déjà fragilisé par ses dérives, doit encore s’abîmer dans une bataille impossible contre Internet. Ce n’est pas la rumeur qui affaiblit le pouvoir : c’est la manière dont le pouvoir y répond.

Julien Michel pour la Lettre patriote.

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Une réponse à “Vouloir effacer une rumeur, c’est la propulser !”

  1. Ce n’est pas qu’il ou elle (donc iel) soit un trans, transition passée dans les mœurs (même si on peut le regretter!), mais le début de leur liaison passible de prison à l’époque qui doit nous interpeler. Et le couple devait être en danger lors des déplacements dans certains pays.
    Si on croit au mensonge, que penser des déclarations de fortune, des décisions qui impliquent le pays et ses habitants, des chiffres qu’on nous assène sur le COVID ou la dette?

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