De l’agressivité et de la partialité des journalistes …

Publié par le 9 Mar, 2021 dans Blog | 4 commentaires

De l’agressivité et de la partialité des journalistes …

Petit article très court pour illustrer la partialité et l’agressivité de deux journalistes qui interviewent Jordan Bardella, le numéro deux du Rassemblement national.

C’est dans un véritable traquenard qu’est tombé Jordan Bardella. Il devait s’en douter puisqu’il s’est risqué dans un studio décoré des logos du Monde, de FranceInfo et de France Inter, tout média pour qui le Rassemblement national s’assimile au diable.

Françoise Fressoz du Monde et Carine Bécard, de France Inter, ont passé leur temps à presser leur invité de questions sans jamais écouter les réponses.

Outre la nature des questions, remarquez le ton des questions ! Tout le sectarisme de la gauche y éclate !

C’est un témoignage édifiant du déni de réalité de ces journalistes qui – Françoise Fressoz l’a affirmé – ne voient pas l’incendie qui se propage dans notre pays.

Je tire mon chapeau au jeune Jordan Bardella qui, sous le feu des questions et des interruptions, ne se démonte pas et déroule sereinement tout son argumentaire et toutes les propositions concrètes de son parti pour lutter contre l’islamisme radical.

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4 Réponses à “De l’agressivité et de la partialité des journalistes …”

  1. A mon avis, il devait savoir ce qui l’attendait. Le Monde, France-info et France-Inter, que de la gauche bien sectaire pour l’interroger, il faut avoir de bon nerfs pour ne pas leur mettre une calotte.

  2. Richard Mauden dit:

    Le Salon beige, 30 septembre 2020 : Quand la gauche radicale assume tranquillement vouloir interdire à la droite de s’exprimer. Cela se passe sur une radio publique (qui se plaint de prises de parole de droite trop nombreuses ailleurs) sans que personne ne s’émeuve. Imaginez que Marion Maréchal ou Eric Zemmour ait dit à peu près la même chose. On crierait au retour des « heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire » :
    « (…) dans la matinale de France Inter présentée par Léa Salamé, c’était bien une figure de la gauche radicale qui a pu développer sa pensée dans un long monologue. « Le but de la gauche, c’est de produire des fractures, je suis contre le paradigme du débat, de la discussion et je l’assume […] Je pense que nous perdons notre temps dans des chaînes d’info à débattre avec des gens inconvaincables (?) et que nous ratifions la possibilité qu’ils fassent partie de l’espace du débat. La politique est de l’ordre de l’antagonisme », glisse-t-il dans un premier temps. Avant d’aller encore plus loin dans son argumentaire ; « Il faut reproduire un certain nombre de censures dans l’espace public pour rétablir un espace où les oppositions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes », lance Geoffroy de Lagasnerie devant Léa Salamé…
    « Ça veut dire quoi rétablir une forme de censure dans l’espace public ? », demande-telle.
    « Ça veut dire […] Plus qu’à la censure, je suis plutôt favorable à une forme de mépris que la gauche doit avoir pour les opinions de droite », continue-t-il. « On se met à être contaminés dans nos espaces de gauche par ces prises de parole complètement délirantes plutôt que les laisser tranquille dans leur coin, dans leur silence, les mépriser, les renvoyer à leur insignifiance » (…)
    [Le thème de la contamination est visiblement à la mode pour la gauche intolérante, NDPC]
    Dans la foulée, Geoffroy de Lagasnerie a déploré que l’on « sacralise deux choses : le travail et la famille. Quand vous faites régner une politique qui, au nom de la santé, s’appelle Travail Famille Patrie, vous rentrez dans un mood (?) pas très sympathique », dit-il, ajoutant que « les gens de (sa) génération vivent depuis 40 ans sous la droite et on en peut plus » (…) Moralité 1 : Nous sommes dirigés par la droite depuis 40 ans. Cela nous avait malheureusement échappé… Ben voyons ! TAKAYCROIRE !
    Moralité 2 : Sur France Inter avec Macron les adeptes du goulag sont toujours bien présents !

  3. Mais nous sommes effectivement aux heures les plus sombres de notre histoire, a part que ce n’est pas avec l’extreme droite nazi,
    mais la goche…

    Il faut arreter de rever !

  4. Que les journalistes sachent qu’ils faudra rendre compte un jour aux peuple qu’ils trahissent, un par un…

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