Les magazines féminins ne sont plus ce qu’ils étaient !

Publié par le 9 Mai, 2021 dans Blog | 8 commentaires

Les magazines féminins ne sont plus ce qu’ils étaient !

On n’y parle désormais plus politique que chiffons  !

Et question top du sectarisme, la presse féminine n’a rien à envier à la presse généraliste.

Hors progressisme, point de salut !

Entre féminisme et altermondialiste, les féministes et donc la presse féminine ont choisi ! Ils ont choisi de regarder ailleurs quand, sur notre territoire, une religion veut imposer aux femmes une discrimination moyen-âgeuse !

Voici un extrait d’un article récent du magazine Elle :

Jeunes, jolies et fachos, la nouvelle vitrine de l’extrême droite

Paris, 23 novembre 2019. Des milliers de personnes défilent contre les violences sexistes. Soudain quelques jeunes femmes font irruption au milieu du cortège, provoquant stupeur, indignation, huées, avant d’être rapidement expulsées de la manifestation. Sur leurs pancartes, on peut lire : « Schiappa, les étrangers violeurs sont toujours là … » ou encore « Cologne, Rotherham, bientôt Panam [sic] ». Des slogans xénophobes faisant écho à des agressions sexuelles de femmes ou d’adolescentes commises par des migrants

Elles sont jeunes, écologistes, féministes… mais surtout xénophobes, nationalistes et ultra-actives sur les réseaux sociaux. Enquête sur la nouvelle vitrine de l’extrême-droite.

C’est donc confirmé par un journal féminin, les violeurs ne doivent être stigmatisés que s’ils sont … blancs ! On est prié d’excuser les violeurs d’outre-Méditerranée :

« Vous comprenez, ils n’ont pas les mêmes coutumes qu’ici … »

Les « Jeunes, jolies et fachos » ont tenu à répondre dans les colonnes de l’Incorrect. Voici leur texte percutant de femmes qui refusent de cacher leur féminité :

Lettre à “Elle“

© Valentin Deniau pour L’Incorrect

Dans son article « La Haine au féminin » d’avril dernier, le magazine Elle a mis en cause les jeunes femmes « jolies et fachos », « xénophobes et nationalistes » devenues vitrine de la vilaine droitosphère française. Quelques-unes des accusées ont souhaité prendre la plume pour répondre dans nos colonnes. Tribune signée par Floriane Jeannin, Estelle RedPill, Alice Cordier, Thonia, Virginie Vota, Thaïs d’Escufon, Jeanne Leclerc et Domitille Faure.

Dites, Elle, on vous dérange ? Nous, les jeunes femmes de droite ? Dire qu’on croyait qu’il fallait des quotas de femmes en politique ! Dire qu’on pensait que nous devions toutes devenir super copines pour lutter contre l’immonde mâle ! Si on ne pense pas comme vous, on devrait rester à la cuisine, c’est cela ?

Mais peut-être n’êtes-vous pas dérangés par notre sexe. Peut-être est-ce notre mise qui vous chiffonne. Dur de nous prendre en défaut sur notre vécu et les statistiques officielles. Vous attaquez donc notre physique. Ah, si seulement nous étions moches ! Pas entretenues exprès, une pilosité en guise d’opinion politique ! Si seulement nous étions comme les filles de gauche !

Nous nous sentons bien dans notre peau (et notre « genre »), merci ! Dans une société qui s’enlaidit de jour en jour, dans un quotidien toujours plus oppressant et dangereux, des jeunes femmes se lèvent à la recherche du beau et du juste. Les attaquer parce qu’elles sont jolies est au mieux indigne d’un journal féminin, au pire le témoignage d’une volonté délétère de soumettre les femmes à votre doxa.

Nous voyons notre corps comme notre pays : on l’entretient du mieux possible, sans le transformer, on l’aime et on le chérit pour ce qu’il est. Vous prétendez « liberté », nous comprenons « négligence » : vous vous malmenez, déformez, déchirez, et nous obligez à applaudir le désastre.

Oui, nous portons nos valeurs sur nos visages et dans nos attitudes. Oui, nous assumons nos idées, de nos cheveux étrangement qualifiés de « blonds » jusqu’à la pointe de nos ongles, manucurés ou non. Nous sommes jeunes, nous aimons prendre soin de nous, pour devenir la meilleure version de nous-mêmes. Nous sommes contraires à l’esprit du temps, qui nous voudrait négligées, à réclamer l’admiration béate de tous en suivant le dernier hashtag politiquement correct.

Nous sommes fières de notre féminité, qui n’est
en rien synonyme d’« oppression patriarcale ».

Il ne vous aura pas échappé qu’être « blondes » et jolies ne nous empêche pas d’avoir un cerveau, et un avis. Vous y voyez une stratégie politique. C’est hélas la nécessité qui nous appelle.

Quand une femme clame avoir été violée par des célébrités, vous vous en faites l’écho sans réserve. En revanche quand nous disons être sans cesse agressées par des hommes issus de l’immigration, vous nous intimez de la fermer pour ne pas être « racistes ». La parole des victimes existe uniquement quand elle arrange votre narratif éculé.

Vous prétendez défendre « l’inclusivité » et libérer la parole des femmes, mais vous parlez au nom de toutes, et vous nous imposez vos carcans politiques, en traitant celles qui n’abondent pas dans votre sens de « fachos ».

Vous et votre idéologie ringarde avez fait de nos rues des coupe-gorges, de nos déplacements en ville des enfers. Dans certains quartiers, les entreprises invitent leurs employées à ne pas porter de talons afin de marcher vite et ne pas attiser la dangereuse convoitise de nos tout nouveaux « compatriotes ». Ils arrivent fraîchement de pays où l’on voile les femmes, où leur parole vaut la moitié de celle d’un homme, où elles sont lapidées pour un soupçon d’adultère. Ces horreurs voyagent dans les bagages de vos migrants chéris : excisions, mariages forcés, têtes rasées, viols et meurtres sont devenus des sujets conséquents sur notre territoire à l’aube du troisième millénaire. C’est une honte. Nos grands-mères portaient la mini-jupe l’esprit tranquille. Nous et nos filles sommes harcelées, puis traitées de « sale pute blanche » quand nous détournons le regard, de peur de provoquer leur violence.

Ne vous en déplaise, nous ne sommes pas instrumentalisées par des milieux trop « masculins » à votre goût : c’est par nécessité, et de notre propre chef, que nous élevons aujourd’hui la voix pour nous faire entendre ensemble, au-delà de nos saines différences de points de vue.

Nos parents se sont battus pour nous donner un bel avenir. Nous sommes féminines, libres et insoumises. Nous voulons continuer à l’être. À pouvoir être ministre ou mère à plein temps, à prendre le métro seules sans risquer notre vie, à allaiter en public ou donner le biberon à la maison, à faire vivre le cœur battant de notre France. Et à donner notre avis, à nous engager en politique sans la permission de notre tuteur légal, quand bien même nous aurions l’impudence – excusez-nous – d’être jolies pour le faire.

8 Réponses à “Les magazines féminins ne sont plus ce qu’ils étaient !”

  1. Excellent article!
    En retour, la grand mère que je suis, écrit que son entourage féminin, XX, genré féminin, n’en déplaise aux mal baisées (excusez moi du terme)=

    ** refuse l’écriture inclusive qui nous rabaisse à un « -e »,

    ** adore recevoir des fleurs de notre conjoint,

    ** adore les câlins du dit conjoint et estime que la carotte de la belle Charlotte (en référence à mon bréviaire du carabin) n’a pas de charme… hormis lavée et mise dans la soupe!

    Nous en sommes à ne plus porter de pantalons, mais des jupes et des robes, par principe, uniquement pour nous démarquer de ces stupides femmes de gauche décérébrées.

    Nous sommes ravies de lire un article tel celui que Christian nous a donné aujourd’hui.

    Mes sœurs, défendons nous!

    Portons haut nos valeurs féminines, tant physiques que morales, notre besoin de maternité, notre amour des hommes (ceux qui ont notre culture, cela va sans dire, mais c’est mieux en le disant)

    Et merci mesdames et mesdemoiselles qui ont écrit cet article : vous nous redonnez espoir.

    • Merci Suzanne !

      Rassurez-vous, nous autres hommes, sommes encore nombreux à aimer les femmes, à les respecter et à perpétuer certaines marques de déférence à leur égard. Vive la galanterie à la française, trop souvent dénigrée !

      Votre dévoué Christian.

  2. genevieva dit:

    cela fait plaisir de lire un texte comme celui là, grand mère de cinq petits fils je me dis que n’ayant pas de petites filles égoïstement je pense « tant mieux » quand je vois ce que subissent les femmes actuellement c’est du délire, j’ai été une célibataire longtemps avec des postes à responsabilité dirigeant hommes et femmes sans avoir eu à subir les désagréments et il parait que les regardant avec mes yeux verts personne ne bronchait, mais c’était avant, je faisais partie de différentes associations féminines, patronales et je rentrais chez moi tard à 40 kms du lieu et jamais je n’ai eu de problèmes, mais bien sûr c’était AVANT
    Souhaitons que les français se prennent la main pour sortir de ce marasme sinon nous allons à la catastrophe

  3. parler chiffons? Mis à part des jeans troués, des baskets et un anneau dans le nez ou plusieurs, c’est désormais l’élégance à la française afin de ne pas se faire taxer d’allumeuse ou de p.etasses…..

    les affaires d’identité, de théorie du genre, etc..c’est tout ce qui reste aux filles et femmes d’aujourd’hui!
    Et puis les hommes sont tous des salauds!

    Bizarre, j’ai travaillé avec des hommes plus ou moins jeunes, aucun jamais n’a été irrespectueux …….
    Je sortais, je rentrais tard trés tard, en taxi……

    Mais à l’époque, les hommes avaient le cerveau au bon endroit et non en dessous de la ceinture comme bon nombre d’animaux aujourd’hui!

    Je déteste l’époque actuelle ou dans mon pays la France il ne fait plus bon naître fille!

    cette époque »

  4. Il y a une politique de destruction des valeurs a tous les niveaux qui est en place et qui ce developpera jusqu’a la confrontation finale entre le bien et le mal, avec derriere la gauche qui au nom des droits, detruit la morale, les valeurs, le peuple, le muselle avec leur complice LRM, fabrique une société sans valeur, immorale, mene vers l’irrespect de l’humanité et l’inhumanité, ou les victimes ne compte que pour defendre leurs ideologie, donc ciblé,les autres ne comptant pour rien, c’est dire leur inhumanité profonde.

    Pour mieux affaiblir notre société, « ils » ont supprimé le service militaire pour en faire des immatures encore a 30 ans, oui, car tout ce systeme de destruction a commencé depuis plusieurs decennies, ou maintenant le dialogue est refusé pour mieux detruire, par des accusations ignobles avec la complicité de tous ceux qui tiennent les renes, politique, justice corrompu et medias comprit, tous complices et ligués contre ceux qui defendent les vrais valeur et leur sont un obstacle.

    C’est bien la lutte du bien contre le mal qui commence avec son travail de sappe, de relachement moral, ou le mal avance drappé au nom des droits humain en ecartant les exclus d’avance a leur ideologie qui doivent ou disparaitre ou ce soumettrent, pour mieux tromper le monde.

    C’est la bataille finale qui commence, car c’est une question de vie ou de mort de notre civilisation telle qu’on la connait.
    Si le mal venait a triompher, ce serait l’inversion totale des valeurs.

    Mesdames, n’abandonnez jamais la lutte contre cette inhumanité qui nie vos droits au nom d’ideologies a geometrie variable qui laisse grande ouverte la porte aux ordures qui ne respecte pas la nature humaine, n’hesitez pas aussi a vous exprimez dans des journaux qui vous defendrons et a rétablir la verité contre les mensonges du soi disant feminisme et leurs ideologie de destruction de la societé.

    Bonne journée.

  5. De tout coeur avec vous mesadames !
    Ca fait plaisir de voir des jeunes qui ne se laissent pas avoir par des abruties sans cervelle et hypocrite a tout va !

Répondre à Lisa Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *