On les traitait de complotistes quand ils le disaient.
Aujourd’hui un ministre de la santé le confirme !

Publié par le 31 Oct, 2025 dans Blog | 0 commentaire

On les traitait de complotistes quand ils le disaient. Aujourd’hui un ministre de la santé le confirme !

Le professeur Raoult a été vilipendé, stigmatisé, marginalisé, pour avoir prétendu que l’hydroxychloroquine était efficace pour soigner le covid en phase précoce.

Les mêmes journalistes qui le dénigraient se précipitaient à l’IHU de Marseille pour y être soignés !

Plus tard, on a traité de la même façon les scientifiques qui expliquaient que l’ivermectine était encore plus efficace que l’hydroxychloroquine !

Mais aujourd’hui, ce ne sont pas Zorro et Bernardo qui sont arrivés mais Donald Trump et son ministre de la Santé Robert Kennedy Jr et ils rétablissent la vérité en réhabilitant les médicaments évoqués précédemment.

Voici un Tweet de Silvano Trotta qui résume une des interventions de Robert Kennedy Jr :

RFK Jr. révèle la véritable raison de la censure
de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine.

Dans une révélation stupéfiante, RFK Jr. dévoile les motivations cachées de la suppression agressive de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine pendant la pandémie de COVID-19.

Ces médicaments, dont l’innocuité est prouvée depuis des décennies et qui ont été administrés à des milliards de doses, ont été systématiquement discrédités, non pas pour des raisons médicales, mais pour des raisons juridiques et financières.

Au cœur du problème : une loi fédérale peu connue interdisant à la FDA d’accorder une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour les vaccins si un médicament existant et approuvé s’avère efficace contre la maladie ciblée.

Si l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine avaient été reconnues efficaces contre la COVID-19, l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins aurait été illégale. Résultat ? Un secteur des vaccins pesant 200 milliards de dollars aurait pu s’effondrer du jour au lendemain.

Malgré des preuves de plus en plus nombreuses – dont 17.000 médecins signant des pétitions et de nombreuses études évaluées par des pairs –, des responsables comme Tony Fauci ont mené une campagne acharnée pour discréditer ces traitements.

L’ivermectine, un médicament récompensé par le prix Nobel, a été qualifiée de « médicament pour chevaux », tandis que l’hydroxychloroquine a été faussement présentée comme dangereuse. L’objectif ? Faire en sorte que les vaccins restent la seule solution « approuvée ».

Mais pourquoi les attaques ont-elles persisté même après l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) des vaccins ? La loi semble exiger la révocation de cette autorisation si un traitement efficace est mis au point. La volonté de « tuer » l’ivermectine et l’hydroxychloroquine n’a jamais été motivée par des considérations scientifiques, mais par la protection d’un empire financier.

Des experts de renom, dont Harvey Risch de Yale et le Dr Peter McCullough (le médecin le plus prolifique dans son domaine), ont traité avec succès des dizaines de milliers de patients atteints de la COVID-19 grâce à ces médicaments.

Leur conclusion, étayée par des données : un demi-million de vies américaines auraient pu être sauvées. Il ne s’agit pas seulement d’un scandale médical, mais d’une trahison de la confiance publique.

La question demeure : combien de vies ont été sacrifiées pour préserver un récit préétabli ?

La vidéo de l’interview de Robert Kennedy Jr est disponible dans le tweet initial.

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