Avec votre argent, la gauche détruit la France

Publié par le 18 Mai, 2021 dans Blog | 6 commentaires

Avec votre argent, la gauche détruit la France

– Avec votre argent, France Inter fait tous les jours sa propagande gauchiste et progressiste.

– Avec votre argent, Delphine Ernotte purge le service public de l’audiovisuel des blancs, hétérosexuels de plus de 50 ans pour promouvoir la diversité.

– Avec votre argent, beaucoup de juges appliquent la culture de l’excuse en refusant d’enfermer nombre de délinquants multirécidivistes, sapant le travail de la police.

– Avec votre argent, via des subventions publiques énormes, la majorité des médias diffuse la même information biaisée et politiquement correcte.

Et pourtant une majorité de Français n’approuve pas les idées progressistes promues par tous ces organismes ! Et cela fait 40 ans que cela dure !

Et il y a pire !

Je n’en ai pas cru mes yeux quand j’ai découvert cet article du Figaro qui nous apprend :

– Qu’avec votre argent, le CNRS a développé et mis en ligne un moteur de recherche qui alimente cette repentance mortifère que la gauche entretient en France.

Voici des extraits de l’article du FigaroVox :

Descendez-vous d’un propriétaire d’esclaves ? Le moteur de recherche du CNRS qui relance le débat sur la repentance

Capture d’écran du site esclavages-indemnites.fr

Une équipe du CNRS a élaboré une base de données où sont recensées les indemnités versées aux propriétaires d’esclaves après l’abolition. Surtout, ces chercheurs y ont ajouté une « carte des indemnités et réparations ». Dans un contexte où la pensée dite décoloniale gagne du terrain dans la recherche, la démarche interroge.

C’est devenu un rituel. À chaque anniversaire de la loi Taubira du 21 mai 2001 définissant la traite et l’esclavage perpétrés par les Européens comme «crime contre l’humanité», les mêmes discours en faveur de la repentance réapparaissent. Cette fois, à l’occasion des vingt ans de la loi, une base de données qui fonctionne comme un moteur de recherche vient de voir le jour. En quelques clics, après avoir entré un nom, une date (1825 ou 1849) une colonie de l’époque (Guadeloupe, Guyane, Martinique, etc.) ou une ville, l’internaute accède à des informations biographiques sur ceux qui possédaient alors des esclaves ainsi que l’historique des indemnités perçues, après l’abolition de l’esclavage.

Le CNRS aurait pu se contenter de proposer un outil exhaustif permettant au public de savoir, par exemple, si l’un de ses ancêtres a été propriétaire d’esclave, mais il va plus loin avec une « carte des indemnités et réparations ». Autrement dit, une cartographie qui recense les actions judiciaires entreprises par des descendants d’esclaves qui demandent des comptes aux gouvernements pour les atrocités subies par leurs ancêtres, dont ils estiment payer encore aujourd’hui les conséquences à travers un prétendu « racisme systémique » de la société.

La « carte des indemnités et réparations » du CNRS. Capture d’écran

En France, deux associations, le Mouvement International pour les Réparations (Mir) en 2005, et le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran) en 2013, ont porté plainte contre l’État et contre la Caisse des dépôts et consignation, et les ont accusés de complicité de crime contre l’humanité. Leur action n’aboutira pas, comme partout dans le monde. Jamais aucun État n’a versé un centime à ces associations militantes.

Mais des institutions ont elle-même pris des initiatives en ce sens. Arguant d’avoir reçu des dons de personnes ayant tiré profit de l’esclavage, l’Université de Glasgow en Écosse a lancé un programme de bourses à destination des étudiants caribéens. Cambridge lui a emboîté le pas. En 2019, la faculté anglaise a lancé un programme de recherche pour savoir si elle a bénéficié de la traite négrière.

Ainsi, l’équipe du CNRS relance de fait le débat sur la repentance

La base de données, fruit d’un travail de deux ans de cinq chercheurs, pourrait d’ailleurs servir de socle à ceux qui plaident pour des réparations financières au bénéfice des anciennes colonies françaises comme l’économiste de gauche Thomas Piketty, qui n’hésite plus à troquer son costume de signataire de tribunes professionnel dans les médias pour celui de spécialiste de la cause mémorielle. En avril, dans une interview accordée à l’Obs, le directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) déclarait: « Depuis que la question [des réparations] a émergé, on répond que l’affaire est trop ancienne. Cet argument me semble à la limite de la malhonnêteté intellectuelle. Des réparations ont été données pour les spoliations aussi anciennes »

Un pôle avancé de la pensée décoloniale ?

Ces travaux posent une fois de plus la question d’un virage idéologique pris par le CNRS dans les sciences humaines. En février après s’être vu confier par le ministère de l’Enseignement supérieur une mission sur « l’islamo-gauchisme » dans les universités, la direction du CNRS avait pris le contre-pied du philosophe Pierre-André Taguieff sur cette question, en liquidant d’un revers de la main la scientificité de ce terme, sans autre argumentation que cette affirmation exclusive.

Fallait-il confier l’enquête au principal suspect ? Pour le professeur de philosophie à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Jean-François Braunstein, le CNRS est devenu « un pôle avancé » de la pensée décoloniale où « les travaux sur le genre, et désormais la race » se multiplient et « l’écriture inclusive pratiquée de manière systématique ».

 Dans nos pages, Jean-François Braunstein tirait la sonnette d’alarme sur l’influence grandissante du décolonialisme dans la recherche et les facs:

L’université leur donne une légitimité prétendument scientifique, utilisée pour miner la société: en enseignant aux futurs professeurs du secondaire, et donc plus tard à leurs élèves, que les jeunes de banlieue sont « systématiquement » discriminés et toujours « colonisés », pareilles idéologies conduisent ces élèves à adopter une posture victimaire, qui leur sera dommageable, et aggravera les tensions dans collèges et lycées.

Ronan Planchon pour Le FigaroVox.

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6 Réponses à “Avec votre argent, la gauche détruit la France”

  1. Ange Pitou, déporté en Guyane par le Directoire nous relate dans ses mémoires que les affranchis possédaient des esclaves. Leurs descendants sont ils concernés par ce moteur de recherche ? J’en doute.

  2. Quand le pere est un meurtrier, son fils doit’il payer pour la responsabilité et culpabilité du père, et de generation en generation ?

    Doit-on élargir le fossé entre les peuples ou essayé de s’entendre quand on vit ensemble ?

    Sinon, on peut aussi remonter jusqu’a la Rome antique ou Cesar a massacré un million de Gaulois et fait un million d’esclave sur les sept millions d’habitant, doit-on encore le leur reprocher de generation en generation et demander reparation ? de meme a tous les envahisseurs, meme Huns ?

    Bien entendu, seul les europeens sont coupable d’apres la gauche, alors qu’en est-il des 18 millions d’esclaves des pays musulmans étalé sur des siecles, doit-on les rendre a jamais coupable pour tous leurs descendants ?

    Que dire quand des documentaires Tv montre que dans l’esclavage des 12 millions de noirs, des tribus africaines en fournissaient aussi aux esclavagistes blancs pendant toute cette periode ?

    Pourquoi sont-ils oubliés par la gauche ?…

    Quel est le role de la gauche si ce n’est vouloir mettre de l’huile sur le feux quand il faut s’élever au dessus des rancoeurs et des haines en ciblant exclusivement les blancs et vouloir soulever les peuples contre eux ?

    La gauche est descendu au niveau du caniveau depuis longtemps, maintenant, elle veut réveiller la haine contre le blanc uniquement.

    Quel est le veritable but de la gauche, si ce n’est detruire le blanc en plus de toute ses valeurs !!!

  3. Richard Mauden dit:

    Avec Macron la racaille gaucho-partisane très médiocre et inculte a tous les droits sur France Inter et ailleurs !

  4. Bien des anciens esclaves ont possédés eux aussi des esclaves…

  5. Est ce que nous pouvons demander des dédommagements pour tous les esclaves blancs qui ont servi d’eunuques dans les harems pour les messieurs et de concubines ou de servantes (voire les 2) dans les dits harems et autres demeures bourgeoises du moyen orient????

  6. Il serait intéressant de connaitre la réponse du site en question sur certains notables ultramarins, et je pense ici à la famille Vergès de la Réunion, dont les ancêtres possédaient des esclaves, comme les documents disponibles aux archives départementales en attestent. Ensuite il serait instructif de connaître la position sur le sujet du dédommagement de Françoise Vergès, « spécialiste des questions d’esclavage », et le montant des indemnités qu’elle prévoit de verser …
    https://blogs.mediapart.fr/robert-chaudenson/blog/211116/la-reunion-la-saga-verges-de-1848-nos-jours-suite-et-fin-provisoire

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  3. Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait supprimer ! C’est le CNRS ! | A droite fièrement ! - […] déjà dénoncé ici le moteur de recherche mis en ligne par le CNRS pour connaitre les familles qui descendent…

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