Ce que les médias vous cachent sur Hillary Clinton …

Publié par le 7 Oct, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Ce que les médias vous cachent sur Hillary Clinton …

Décidément, il n’y a plus rien à attendre des médias français ! Ni déontologie, ni éthique ! Juste du parti pris !

C’est déjà vrai sur l’actualité française mais cela devient criant quand il s’agit de ce qui se passe outre-atlantique !

Avant même l’élection de Donald Trump, la presse française avait choisi sa candidate : Hillary Clinton.

Et depuis, c’est pire encore ! Les médias avaient relayé prestement toutes les accusations de complicité de l’équipe de campagne de Donald Trump avec des hackers russes qui auraient tenté d’influencer son élection.

Rappelons que depuis, Donald Trump a été totalement lavé de tout soupçon dans cette affaire, comme je l’avais rapporté dans ce précédent article :

Au final, après trois ans d’enquête, le procureur spécial Robert Mueller conclut « qu’il n’existait pas de preuve d’une entente entre l’équipe de Donald Trump et la Russie que l’équipe de Donald Trump lors de la campagne pour l’élection présidentielle de 2016. Et qu’il n’y a pas matière à poursuivre le président pour entrave à la justice. »

Mais aujourd’hui où le vent a tourné et que c’est Hillary Clinton qui est accusé d’avoir manigancé toute cette histoire de RussiaGate, la presse française ne voit rien, n’entend rien !

Voici un article paru dans le Saker francophone qui fait le point sur cette affaire :

Une lettre du Directeur du Renseignement National
confirme qu’Hillary Clinton a manigancé le « Russiagate »

Les accusations d’intervention russe dans les élections présidentielles de 2016 ont-elles été inventées par le bureau de campagne de Clinton ? Une lettre envoyée par le Directeur du Renseignement National, John Ratcliffe, semble le suggérer :

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Mardi, Ratcliffe, un loyaliste que Trump a placé à la tête du renseignement américain au printemps, a envoyé au sénateur Lindsey Graham (R-S.C.) une lettre affirmant que, fin juillet 2016, le renseignement américain a pu avoir accès à une analyse du renseignement russe. Cette analyse, résumée par Ratcliffe dans sa lettre, affirmait que Clinton avait un plan pour attaquer Trump en le liant au piratage du Comité national démocrate, exécuté en 2016 …

Ratcliffe a déclaré que la communauté du renseignement « ne connaît pas l’exactitude de cette allégation et la mesure dans laquelle cette analyse du renseignement russe pourrait être une exagération ou un montage. »

La lettre indique que le directeur de la CIA de l’époque, John Brennan, avait informé le président Obama de ces renseignements. Il l’a informé que les Russes pensaient que Clinton avait approuvé, le 26 juillet 2016, le plan de son bureau de campagne.

Ainsi, l’espionnage des analyses russes par les renseignements américains a révélé que les Russes pensaient que Clinton avait lancé une campagne « Trump est aidé par le piratage russe du DNC [Democratic National Comittee] ». Les Russes avaient sûrement de bonnes raisons de penser cela.

Les courriels du Comité national démocrate ont été publiés par Wikileaks le 22 juillet 2016, peu avant la Convention nationale démocrate. Ceux-ci prouvaient que pendant les primaires présidentielles, le DNC avait activement travaillé contre le candidat Bernie Sanders.

Le 24 juillet, le directeur du bureau de campagne de Clinton, Robby Mook, est allé sur CNN et a lancé, à ma connaissance, les toutes premières allégations (vidéo) disant que la Russie avait « piraté » le DNC pour soutenir Donald Trump.

Il est probable que les analystes russes ont vu cette émission.

L’apparition de Mook à la télévision était probablement un ballon d’essai lancé pour voir si de telles affirmations allaient tenir la route.

Deux jours plus tard, Clinton aurait approuvé les plans de son bureau de campagne visant à mettre l’accent sur de telles affirmations.

Dans le tristement célèbre dossier Steele, préparé pour la campagne de Clinton par un « ancien » espion britannique, la première donnée qui lie la campagne Trump au « piratage russe de la DNC » aurait été écrite le 28 juillet 2016.

Le président de Crowdstrike, la société de cybersécurité qui a enquêté sur la fuite du DNC, a déclaré plus tard que sa société n’avait jamais trouvé de preuve que la Russie avait piraté le DNC.

On soupçonne Seth Rich, une personne s’occupant du système informatique du DNC et partisan de Bernie Sanders, d’avoir divulgué les e-mails du DNC à Wikileaks. Seth Rich a été assassiné le 10 juillet 2016 à Washington DC lors d’un prétendu « vol » au cours duquel rien n’a été volé.

Les affirmations faites dans la lettre de Ratcliffe correspondent à la chronologie du scandale tel qu’il s’est déroulé. Elles confirment les soupçons selon lesquelles le bureau de campagne de Clinton a manigancé le « Russiagate », une affaire qui repose sur du vent. Elle a été soutenue par une myriade de médias et par des douzaines de militants anti-Trump occupant de hautes positions au sein du FBI et de la CIA.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Jj pour le Saker Francophone.

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