Ivermectine en Inde, une scientifique
de l’OMS risque la peine de mort

Publié par le 28 Juin, 2021 dans Blog | 7 commentaires

Ivermectine en Inde, une scientifique de l’OMS risque la peine de mort

Je suis persuadé que dans quelques mois le scandale du boycott des solutions de traitement du Covid-19 (Chloroquine, Ivermectice, Zinc, etc …) par les autorités médicales suivies aveuglément – ou par complicité – par les politiques éclatera au grand jour.

Je verse aujourd’hui au dossier un article paru dans L’Observateur du Maroc & d’Afrique. Cet article rapporte les accusations qui portent, en Inde, sur une scientifique de l’OMS pour ces publications dénigrant l’Ivermectine :

L’Inde pourrait être le premier pays à poursuivre en justice un scientifique de l’OMS pour avoir déconseillé l’Ivermectine contre Covd-19. L’association du barreau de l’Inde a entamé une procédure.

Le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA) a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS, l’accusant d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’ivermectine.

La scientifique de l’OMS est accusée d’avoir commis un tweet trompeur le 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’ivermectine qui a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’ivermectine du protocole le 11 lendemain. Il venait juste de déclarer ce traitement efficace contre Covid-19.

Si le Dr Soumya Swaminathan est déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a menacé de poursuites pénales le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes de commission et d’omission. Le mémoire accusait le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

L’ivermectine est un médicament bon marché qui est prescrit comme antiparasitaire. Il a gagné en popularité pour la prévention de la covid-19. L’OMS et la FDA n’approuvent pas l’ivermectine mais de nombreux médecins et scientifiques pensent qu’elle est efficace. Certains affirment que les États indiens qui ont utilisé l’ivermectine ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès dus à la covid que les États indiens qui n’ont pas utilisé l’ivermectine.

Dans les régions de Delhi, de l’Uttar Pradesh, de l’Uttarakhand et de Goa les cas ont chuté respectivement de 98 %, 97 %, 94 % et 86 %. En revanche, le Tamil Nadu qui a choisi de ne pas utiliser l’ivermectine, le nombre de cas a explosé et est devenu le plus élevé de l’Inde. Les décès au Tamil Nadu ont été multipliés par dix.

Dans un test portant sur plus de 4 000 personnes en Inde (plus de 3 000 ont pris de l’ivermectine) et plus de 1 000 n’en ont pas pris. Les résultats ont montré que 2 % des personnes ayant pris de l’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR et que 11,7 % des personnes n’ayant pas pris d’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR.

Les accusations spécifiques incluent la conduite d’une campagne de désinformation contre l’ivermectine et la publication de déclarations dans les médias sociaux et grand public pour influencer à tort le public contre l’utilisation de l’ivermectine malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques montrant sa profonde efficacité dans la prévention et le traitement de la covid-19.

Campagne de désinformation de l’OMS ?

TrialSite a des preuves que l’OMS supprime des données importantes relatives au traitement de Covid19. Récemment, elle publié un rapport sur l’effort local important de l’opération de santé publique dans l’Uttar Pradesh mais a omis le fait fondamental, que l’ivermectine est en fait largement utilisée dans le cadre de l’initiative. Pourquoi l’OMS se donnerait-elle tant de mal pour supprimer cette information importante, c’est-à-dire un traitement qui fonctionne réellement ? Quel type de programme cette organisation a-t-elle adopté lorsqu’elle semble utiliser la désinformation pour tromper et perturber les nations cherchant à maîtriser cette pandémie ? Cette récente action en justice en Inde est-elle simplement un geste symbolique ou représente-t-elle le signe avant-coureur d’autres actions en justice à venir ? », se demande TriaSite.

Hakim Arif pour L’Observateur du Maroc et de l’Afrique.

Nota :  Pour l’instant, cette scientifique n’est poursuivie que par une seule association et donc sa culpabilité reste à prouver par la justice indienne. Cette information est parue dans quelques sites internationaux mais n’est pas du tout relayée en France, ce qui n’étonnera personne !

Cet article confirme l’efficacité de l’ivermectine en Inde :

A Delhi, l’ivermectine fait chuter de 97 % les cas de Covid en 5 semaines

Merci de tweeter cet article :





7 Réponses à “Ivermectine en Inde, une scientifique
de l’OMS risque la peine de mort”

  1. Ivermectine en Inde, une scientifique
    de l’OMS risque la peine de mort

    Ce serait génial!

    Quand je pense =
    ** que nos gouvernements partout sur la planète ou presque, veulent nous imposer une thérapie génique dangereuse, ayant une autorisation de mise sur le marché temporaire jusqu’en 2022 à 2024 suivant les labos, autorisation temporaire acceptée parce que, soit disant, il n’y a pas de traitement efficace pour cette grippe, alors que si, il y en a et plusieurs…(Azithromycine et autres antibiotiques, Ivermectine, Hydroxychloroquine, etc…accompagnés bien sûr de Vit D, Vit C, Zinc… Corticoïdes et anticoagulants si nécessaire…)

    ** qu’ainsi ils ont mené nombre de malades directement au cimetière faute de soins

    ** qu’ils ont –en France- euthanasié à tours de bras nos anciens et nos poly pathologiques à coup de Rivotril et de Midazolam (Hypnovel)

    ** Qu’ils ont préconisé ce que nous appelons le protocole 3D : Doliprane, Dodo, Décès

    ** Qu’ils ont mis devant le Conseil de l’Ordre tous les médecins qui soignaient vraiment avec les bons médicaments

    ** Tandis que les faux vaccins =
    ——- provoquent des décès, des effets secondaires légers (fièvre, symptômes équivalents à la maladie), mais aussi des effets secondaires graves (de la stérilité des jeunes aux thromboses et aux problèmes cardiaques pour indiquer les plus connus du grand public), tout ceci en nombre considérable, et encore, certains centres de pharmacovigilance refusent de prendre les remontées de ces effets néfastes, car ils sont noyés dans la quantité (notamment le CHU de Tours, qui a fait, pour cela la Une de nos journaux régionaux !)

    ——- Et que certains effets secondaires probables, au vu de la formule de ces thérapies, ne se verront que dans quelques années (notamment les maladies auto-immunes)

    ** Tandis que ces faux vaccins n’empêchent pas d’attraper la bestiole (mutante ou non, d’ailleurs) mais, de plus facilitent la mutation de ce virus… Virus que ces vaccinés transmettent aux non vaccinés (et aux vaccinés), d’où les foyers de cette infection que nous voyons (notamment dans les EHPAD où tous les résidents ou presque sont vaccinés)

    ** Et que, selon les dernières avancées des recherches, les vaccinés transmettent aux autres, par leurs gouttes de salives (qui traversent le masque comme un moustique traverse un grillage à poules, car sous forme d’aérosol) la protéine Spike à l’entourage
    ……..

    Alors oui, tous ces véreux politiques, tous ces faux experts, ayant des conflits d’intérêt avec les labos, eh bien, j’espère qu’un jour ils seront jugés pour les millions de morts et de malades à vie qu’ils auront fait pour une poignée de dollars !

    La peine de mort leur serait trop douce…. Il faudrait trouver une sorte de supplice psychologique et physique afin qu’ils réalisent ce qu’est =
    __la douleur d’un malade se croyant à l’abri avec ce faux vaccin,

    __ la culpabilité ressentie par ceux qui auront transmis un mutant peut être dangereux (pour l’instant, malgré les bobards journalistiques, les mutants sont plus contagieux, mais moins dangereux, même si les personnes fragiles risquent la mort)

    __ La douleur de ceux qui ont ou auront perdu un des leurs à cause d’une contagion dont le malade se croira protégé, ou par manque de soins, ou par euthanasie, et qui n’auront pas pu accompagner leurs parents ou ami, que les élites leur rendront entre 4 planches (voire dans une urne, afin qu’on ne puisse pas faire d’autopsie !) après 2 à 3 semaines pendant lesquelles ils n’auront pas eu le droit de les voir !

    Bravo à l’Inde et espérons que cela fera boule de neige.

    Il existe de nombreux sites intéressants et valables sur le Web, tels =
    *le blog du Dr Maudrux,

    *Réinfo-Covid
    notamment ces page : https://reinfocovid.fr/articles-scientifiques/ et https://reinfocovid.fr/base_documentaire/aimsib-vaccination-anti-covid-19-etat-des-lieux/

    *et Covidémence, que j’aime bien, car écrit avec beaucoup d’ironie,

    Ceci pour être informés de la réalité et non pas manipulés par une presse aux ordres des riches pervers de ce monde.

  2. stéphane roncaglia dit:

    On oblige la vaccination avec un vaccin au stade expérimental (qui de + provoque l’apparition de virus variants), et on interdit des traitements connu et qui fonctionnent (Chloroquine, Ivermectice, Zinc, etc …) !!!

  3. La peine de mort pour les salauds qui se foutent du peuple et preferent le fric au lieu de l’individu !

  4. C’est un crime contre les peuples, il faut donc continuer a mettre la pression pour que cesse cette voie criminelle monté a l’echelle mondiale contre les peuples, car macron, complice de big pharma, a prévu la vaccination obligatoire vers l’automne, et tant pis pour le peuple…

    D’ailleurs, tous les messages avec liens, prouvant le mal des « vaccins », me sont automatiquement supprimé par le systeme de la censure mis en place par le gouvernement pour mieux nous tromper et nuire a notre santé.

  5. Il y a eu sept exécutions en Inde depuis 2004, autant dire qu’elle ne risque pas grand chose.

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  1. Interdiction de l’ivermectine : du sang sur les mains ? | A droite fièrement ! - […] autoriser les traitements du Covid comme en Inde (voir cet article), c’était éviter de saturer les hôpitaux et donc ne…

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