L’Europe, ouverte à tous les vents,
surtout les plus mauvais !

Publié par le 7 Sep, 2018 dans Blog | 0 commentaire

L’Europe, ouverte à tous les vents, surtout les plus mauvais !

A l’approche des élections européennes, c’est le moment de faire le point sur cette Europe que les politiques ont construite contre la volonté des peuples qui la composent.

Au risque de choquer, je comparerais bien l’Europe au communisme : cela part d’une très belle idée – l’union, la paix pour la première, l’égalité pour le second – et après mise en oeuvre, cela s’avère désastreux.

Nulle part le communisme n’a pu perdurer sans le carcan d’une dictature sanguinaire. Certes l’Europe cultive la démocratie mais ses résultats sont très décevants et entrainent de plus en plus la révolte des peuples !

Les défenseurs de l’Europe nous jettent toujours ses (supposées) réussites à la figure : la paix, l’union qui nous permettrait de mieux résister à la mondialisation et la tarte à la crème de l’Europe : Airbus comme si des firmes françaises et allemandes n’auraient pas pu s’allier pour fabriquer des avions sans l’Europe !

Je suis tombé ce matin sur un excellent article de Claire Beauchamp paru sur le site du Politique. Tout y est et le titre fait mouche :

L’Europe ? Un gigantesque bordel
soumis, laxiste, incontrôlable et incontrôlé !

Ouverte à tous les vents, surtout les plus mauvais, l’Europe devient peu à peu la poubelle du monde. Cette Europe qu’Emmanuel Macron nous vend, nous survend tel un mauvais vendeur de voitures, ad nauseam alors qu’il n’a toujours pas compris que SA vision de l’Europe n’a absolument, mais absolument rien de commun avec l’Europe telle qu’elle existe véritablement, aujourd’hui et maintenant.

Pour les gens normaux, « ceux qui ne sont rien », ceux qui contrairement à lui n’ont que leur bon sens et ne seront jamais des « premiers de cordée » et au vu des résultats pathétiques de ces odieux prétentieux peuvent-ils s’en féliciter, « Europe » est malheureusement devenue un mot synonyme de laxisme, d’oppression et d’enfer.

De l’islamisme conquérant imposant sa loi partout en Europe, s’infiltrant dans toutes les couches de la société et du pouvoir politique aux réglementations délirantes totalement déconnectées de la réalité des artisans, des agriculteurs, des entrepreneurs, des travailleurs aux millions de migrants qui ont débarqué et débarqueront encore demain sur notre sol en abusant le titre de « réfugiés », l’Europe est devenue – et pardon pour la grossièreté – un immense « bordel » où certains « dirigeants » politiques sont les prostituées de ceux qui, chaque jour du Bataclan à Super U, appliquent la loi du plus fort.

Car nous Européens, privés de tout droit à nous défendre, de tout droit à préserver nos valeurs, de tout droit à chérir notre mode de vie, sommes désormais des moutons voués au sacrifice par les loups. Partout, et plus encore à Paris passée de « ville de l’amour » à déchetterie géante, l’Europe est incontrôlée, incontrôlable, qui veut y rentre, qui veut y commet les pires méfaits, qui veut y fraude, qui veut y entreprend sa destruction.

Les Européens, de Chemnitz à Leeds à Rome n’en peuvent plus de cette « Europe » qui ne ressemble plus guère à l’Europe, la vraie, celle où les Européens étaient encore chez eux, celle où l’on pouvait vivre libre, celle où le progrès était la lutte implacable contre le totalitarisme qu’il soit nazi ou stalinien, celle où l’on ne se pliait pas à l’insupportable, celle où existaient des Churchill et De Gaulle pour combattre le Mal.

« L’Europe » déraille complètement et Emmanuel Macron comme Angela Merkel vivent dans un déni qui la démolit un peu plus chaque jour. L’Europe est devenue un foutoir sans nom, sans identité, sans avenir. Qui vous dira le contraire devrait sortir de son bel immeuble de l’ouest parisien pour vivre le monde tel qu’il est désormais : violent, totalitaire, sadique, laxiste, ignoble.

L’Europe se meurt, et ses « dirigeants » la suicident allégrement. Les milliers d’Européens assassinés par l’islamisme – inclus tous ceux passés en « faits divers » – sont la preuve irréfutable d’un si terrible constat. Crier au « populisme » quand soi-même on ferme les yeux sur le pire du pire, que l’on nie des attentats, que l’on ne fait strictement rien de durable pour protéger vraiment les Européens est un crime contre l’Europe, un crime contre l’Humanité.

Claire Beauchamp pour Le Politique.

Je recommande la lecture du Politique pour la qualité de ses intervenants. Voici quelques uns de ses derniers articles :

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