Mais qui nous délivrera de Gilles Le Gendre ?

Publié par le 5 Août, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Mais qui nous délivrera de Gilles Le Gendre ?

On n’en peut plus de cette ventouse de plateaux télé qui vient nous vendre la soupe Macron !

Pour Le Gendre, Emmanuel Macron est un véritable messie. Il en vante les mérites et la politique. Pour lui :

 Dans le Macron tout est bon, y’a rien à jeter !

Pour résumer le niveau de ce béni oui oui béat de la Macronie, il suffit de rapprocher deux de ses propos :

Depuis le 18 juillet, Le Gendre répète en boucle :

« il n’y a pas d’affaire Benalla ! »

Mais depuis quelques jours, on entend :

« L’affaire Benalla est derrière nous ! »

Une logique à toute épreuve qui montre qu’il y avait bien une affaire Macron-Benalla !

Regardez cet interview de Le Gendre sur Europe1 dans laquelle il rame pour défendre son parti la République en marche au siège duquel on a retrouvé trois armes à feu :

Un twittos ironique a approuvé l’affirmation de Le Gendre : « l’affaire Benalla était derrière nous » :

Pour terminer, voici une déclaration solennelle de Gilles Le Gendre à la gloire de son Jupiter adoré :

Le Président a apporté sa révolution à Versailles, en remettant le macronisme au milieu du village. Si on avait oublié le niveau de ses ambitions, il les a rappelées, sans concession. On est dans l’expression la plus pure du macronisme, à un niveau presque philosophique. Et le macronisme, c’est en premier lieu la notion d’efficacité. Le Président a une conscience aiguë de l’état de défiance et de colère du pays. Il pense qu’on va l’apaiser en restaurant l’efficacité à tous les niveaux de l’action publique. Ça porte évidemment sur les institutions, sur l’équilibre à atteindre entre l’économique et le social, entre la libération des énergies collectives et la protection des populations vulnérables, mais aussi sur la relance européenne. Il n’ouvre pas la voie à des demi-mesures cosmétiques. Maintenant, la répartition des rôles est très claire : le Président a cadré la vision qu’il incarne, au niveau qui est le sien. A Edouard Philippe de présenter ce mardi le programme de travail du Parlement pour les semaines à venir.

« On est dans l’expression la plus pure du macronisme, à un niveau presque philosophique !  » : il fallait oser

Mais tout ça le fatigue beaucoup :

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