Tulsi Gabbard, la Young Global Leader rebelle !

Publié par le 30 Déc, 2022 dans Blog | 0 commentaire

Tulsi Gabbard, la Young Global Leader rebelle !

Les « Young Global Leaders » sont les créatures de Karl Schwab le président du Forum de Davos (World Economic Forum), l’homme du Great Reset.

Comme le précise le site web dédié aux Young Global Leaders, ils forment la jeune élite du Monde :

« La communauté Young Global Leaders est un accélérateur pour une communauté dynamique de personnes exceptionnelles avec la vision, le courage et l’influence nécessaires pour conduire un changement positif dans le monde. »

Bigre ! Mais quand on voit, dans la période récente, la façon dont le monde évolue et devient de plus en plus dangereux, on cherche … les changements positifs !

En principe, quand vous êtes appelé à rejoindre l’élite de l’élite des Young Global Leaders, vous ressentez une fierté énorme et ensuite vous faites tout pour mériter cet honneur dans la durée et ne pas décevoir votre grand gourou du Forum de Davos, Karl Schwab !

Mais il y a des exceptions !

En tout cas, une exception en la personne d’une jeune démocrate américaine nommée Tulsi Gabbard.

Planet-Today nous raconte sa rébellion :

Tulsi Gabbard, ancienne jeune leader mondiale du WEF, condamne le « rêve totalitaire » de Klaus Schwab !

Klaus Schwab et son Forum économique mondial partagent un « rêve totalitaire » d’une grande réinitialisation (Great Reset) qui vous condamnera à la faillite et à une surveillance profondément intrusive, selon l’ancien « Young Global Leader » du WEF et représentante démocrate Tulsi Gabbard. Elle a averti sur Twitter :

Alors que nous luttons pour acheter de la nourriture et du carburant, l’élite s’est réunie à Davos/WEF pour discuter de la manière dont nous devrions être autorisés à vivre notre vie.

Elle a ajouté :

Leur rêve totalitaire d’une soi-disant « grande réinitialisation » où les gens ne possèdent rien et sont suivis/surveillés à chaque pas, doit être condamné par nous tous.

Il semble que Tulsi se réveille. En 2015, elle a été nommée l’un des « Young Global Leaders » du Forum économique mondial, rejoignant les rangs de jeunes libéraux comme Emmanuel Macron, Jacinda Ardern et Justin Trudeau, tous diplômés de la classe de Klaus Schwab pour devenir l’aile gauche moderne et autoritaire.

Mais Tulsi Gabbard a choisi une voie différente.

Plutôt que de devenir un lâche démocrate standard, Gabbard n’a eu aucun scrupule à critiquer la royauté du parti ces dernières années. En 2020, elle a poursuivi Hillary Clinton après que l’ancienne première dame notoirement fourbe l’ait calomniée comme un « agent russe ». Plus récemment, elle a dit ce que nous pensions tous et a critiqué Joe Biden pour sa décision dystopique de créer un Conseil de gouvernance de la désinformation, tout en soulignant le lien direct entre celui-ci et les récents commentaires de l’ancien président Barack Obama. Gabbard a noté dans un tweet tôt dimanche matin que le 21 avril, Obama a appelé à une surveillance accrue de la désinformation sur les plateformes médiatiques Big Tech lors d’un discours au Stanford Cyber Policy Center. Elle a posté un tweet accompagné d’une vidéo d’Obama :

Biden n’est qu’un porte-parole. Obama, 21 avril : les censeurs des médias sociaux ne vont pas assez loin, le gouvernement doit donc intervenir pour faire le travail. Six jours plus tard, la Sécurité intérieure déploie le « Ministère de la vérité » (alias Conseil de gouvernance de la désinformation).

Gabbard a exprimé ouvertement sa désapprobation du conseil d’administration, se joignant à d’autres pour l’appeler un « ministère de la vérité », une référence au roman dystopique de George Orwell, 1984. L’ancienne membre du Congrès est apparue sur Hannity de Fox News la semaine dernière pour faire exploser Biden en le comparant à un dictateur.

C’est le genre de chose que vous voyez dans les dictatures, ce ministère de la Vérité, ce département de la propagande que l’administration Biden vient de mettre en place. La raison pour laquelle vous voyez cela dans les dictatures, c’est parce qu’ils ont peur de nous. Ils ont peur du peuple. Ils ont peur que nous puissions réellement penser par nous-mêmes.

Article by Baxter Dmitry (Planetrepublished from NewsPunch.com

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