Messiha-Zemmour, deux battants pour un même combat

Publié par le 9 Avr, 2021 dans Blog | 3 commentaires

Messiha-Zemmour, deux battants pour un même combat

Jean Messiha est en train de se faire un nom sur le plateau de CNews et, parait-il, sur celui de Cyril Hanouna (TPMP).

Il est pratiquement en passe de disputer à Eric Zemmour, le titre d’ennemi public numéro 1 de la gauche et des médias bien-pensants.

Il a osé rappeler, à l’occasion de l’affaire du « home jacking » de Bernard Tapie et de sa femme, que ce dernier avait souvent soutenu les migrants ce qui ne l’avait pas empêché d’en devenir une victime.

Pour avoir rappelé que selon les Tapie, eux-mêmes, ils avaient été agressés par trois noirs et un maghrébin, il a subi un tir de barrage de tous les médias.

Tout rapprochement entre les mots délinquance et immigration est considéré aujourd’hui comme un crime absolu par toute cette gauche qui refuse de voir la réalité. Une réalité qui, comme le montre les sondages, est parfaitement appréhendée par la majorité des Français.

Jean Messiha a répondu à ses détracteurs dans un article publié par Valeurs actuelles. Voici la fin de son article :

Mais plus encore, ce qui m’a complètement abasourdi ce sont les révélations d’André Bercoff, animateur de Sud Radio sur son entretien avec Bernard Tapie, dont il est l’ami de longue date, après les faits. L’homme très choqué, et on le comprend, lui avouait son désarroi : « Je leur ai dit que j’avais toujours été de leur côté », a dit Tapie à ses agresseurs dans l’espoir de les ramener à la raison. À cela, il n’a reçu pour toute réponse qu’un « va te faire enculer » méprisant, ses agresseurs continuant à cogner de plus belle, surtout sur son épouse.

Avoir été de leur côté aurait dû donc constituer une immunité aux yeux de Tapie. Eh bien non, cher Monsieur. Vous devriez faire un peu d’histoire. Les envahisseurs n’épargnent jamais très longtemps les naïfs ou les traîtres qui leur ont ouvert la porte.

Vous pensiez sans doute, comme toute la grande bourgeoisie française immigrationniste, que la populace blanche et immigrée assimilée était bonne pour le « vivre-ensemble » de masse, mais que votre fortune vous en épargnerait les affres et les dangers ? Pas de chance. Les murs de votre domaine ne les ont pas arrêtés. Et ils n’épargneront personne. Non personne.

On me reproche d’avoir relaté cette affaire en ces termes ? Je m’en fous. Au nom de quoi devrais-je donc taire le réel ?

Cela fait maintenant des années que le fait d’être blanc vous relit à l’esclavage, au colonialisme, au racisme et on vous dit que vous devez encaisser tête baissée parce que c’est la réalité de l’Histoire. Très bien. Eh bien la réalité d’aujourd’hui, c’est aussi que l’immigration arabo-afro-musulmane est considérablement sur-représentée dans la délinquance, la criminalité, le fanatisme religieux et je ne parle même pas du terrorisme. Alors maintenant, c’est réel contre réel, il n’est plus question de prendre des coups sans les rendre. Je suis un bon chrétien sauf sur un point : je ne tends pas l’autre joue. Je tends le poing. Politiquement bien sûr.

Je m’entête à parler du réel parce que le dissimuler nous empêche de régler les problèmes qui accablent notre pays. Depuis des années, nous vivons une immigration de peuplement arabo-afro-musulmane. Et on nous serine à longueur d’années que cela se passe très bien, qu’un vivre-ensemble serein et pacifique se met en place et mieux, que l’on s’enrichit de cette lente submersion. Eh bien, il est plus que temps de dire CE QU’IL FAUT.

Non, cela ne se passe si bien que ça. Non ce n’est pas si pacifique que ça. Et non, franchement, ce processus est très loin de nous enrichir. Parler ainsi nous entrainerai, paraît-il, vers la guerre civile.

C’est tout le contraire. C’est en arrêtant cet assaut pendant qu’il en est encore temps – et il ne nous en reste que très peu – que l’on pourra empêcher la guerre civile. Mais le camp de l’anti-France ne veut pas de cette résistance, car il veut que dans 20 ou 30 ans le peuple français n’ait plus d’autre choix que de se soumettre ou de se barrer parce que le nombre sera contre lui.

Je vais terminer par cette histoire de « stigmatisation » dont on nous rebat les oreilles. Avez-vous remarqué que chaque fois que des gitans sont impliqués dans une affaire délictuelle ou criminelle ou de troubles à l’ordre public, les médias n’hésitent pas une seconde à désigner les auteurs comme des « gens du voyage » ? Là personne ne se scandalise de ce qui contribue à stigmatiser une population qui l’est déjà pas mal. Par contre, c’est un invraisemblable tollé si les mots « immigration », « maghrébins » ou « africains » sont prononcés. Pourquoi ? C’est très simple. Les Gitans sont des Blancs qui, en plus, ne vivent pas comme les autres Blancs. Alors les pointer du doigt, ça passe crème. Mais les Arabes et les Noirs, eux, sont sanctuarisés, presque déifiés.

Toute cette hypocrisie, c’est finie. Terminée.

La gauche et la bien-pensance ont décidé depuis quelques années de mettre la race au cœur du débat politique, pour en désigner une, la race blanche, comme la mauvaise race coupable de tout et les autres comme victimes de tout. Le temps de la vérité est venu. On va tout mettre sur la table et les Français vont lentement sortir de la torpeur des sédatifs de la doxa pseudo-progressiste et anti-française.

Nous sommes chez nous et nous allons nous battre pour rester ce que nous sommes là où nous sommes. C’est-à-dire rester et vivre Français en France.

Jean Messiha pour Valeurs actuelles.

Je recommande la lecture d’un autre article de Jean Messiha paru dans Causeur :

Ecologistes et islamistes: l’alliance verte

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3 Réponses à “Messiha-Zemmour, deux battants pour un même combat”

  1. moi je l’adore on le flingue de tous les côtes mais il reste droit dans ces bottes
    Sur C8 le rappeur l’a buzze
    il n’y a que la vérité qui choque les gauchos
    en plus le fils Tapie au TAPIS
    Bernard qui défendait l’immigration il en a reçu pour son grade ce je déplore un peu je ne suis pas pour la violence

  2. Trop bon, trop con.
    Devise française.

    J’aime bien aussi la définition « churchillienne » du conciliateur qui va comme un gant à M. Tapie, même si je suis scandalisé par cette barbarie.

    Un concilateur, c’est un type qui nourrit un crocodile en espérant qu’il sera dévoré en dernier.

    Pour ce qui est de Jean Messiha, il a surtout une qualité, c’est qu’il ne manie guère la langue de bois.

    Je suis pour une parole libre, sans filtre et qui se rapproche au maximum de la vérité. Pour les mécontents, il existe la controverse plutôt que la censure et les tribunaux pour ce qui relève du délit.

  3. Le peuple ne demande que du reel et non de la propagande debiles et manipulatrice qui se fout de tout le monde…

    La pseudo bien pensance comme la goche, et les merdias, ultra menteurs n’aiment pas le reel… comme les « ministres » progressistes.

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