Nul n’est besoin de quitter l’Europe …
Il suffit d’en chasser les progressistes !

Publié par le 29 Oct, 2021 dans Blog | 2 commentaires

Nul n’est besoin de quitter l’Europe …Il suffit d’en chasser les progressistes !

La mauvaise réputation qu’a acquise l’Union européenne au fil des ans est essentiellement due à la dérive des institutions opérées par ses instances, avec la complaisance, voire la complicité des gouvernements de certains pays, France et Allemagne en tête.

Ce rejet populaire massif de l’Europe procède de la faille toujours plus profonde entre les peuples et les élites.

Le mal qui ronge l’Europe a un nom : le progressisme.

Ses instances judiciaires (CJUE et CEDH) ont été noyautées par des ONG progressistes comme l‘Open Society du milliardaire George Soros (voir cet article).

C’est sur les aspects sociétaux de la politique européenne que le mal est le plus visible notamment par la promotion de la théorie du genre et celle de l’immigration sans limite.

Aujourd’hui, seuls les anciens pays de l’Est dont la Hongrie et la Pologne, qui se souviennent du joug soviétique, résistent aux assauts du progressisme des instances européennes !

Voici un article de Boulevard Voltaire qui dénonce l’activisme pro-migration de la commissaire européenne Ylva Johansson :

Pour Ylva Johansson, commissaire européen,
nous devons renforcer un narratif positif sur la migration !

Dire qu’il existe une urgence migratoire aux frontières du Vieux Continent relève de l’évidence. Mais tout le monde, en Europe, n’a pas forcément la même définition du vocable « d’urgence ». Ainsi, douze de nos voisins (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, Républiques tchèque et slovaque) ont-ils demandé aux autorités européennes de les aider financièrement à construire ces barrières destinées à protéger notre maison commune.

La réponse d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, est évidemment non, à en croire cette déclaration du 22 octobre : L’Union européenne ne financera pas de « barbelés et murs » pour empêcher les arrivées de migrants. De son côté, la Suédoise Ylva Johansson, commissaire aux Affaires intérieures, reconnaît que les pays incriminés « ont le droit de construire des clôtures », mais que cela ne doit pas être « financé sur des fonds européens ».

Bref, l’Europe finance bien des campagnes et des plus contestables. Mais veiller à nos frontières ? Non. Résultat ? Ylva Johansson est « extrêmement inquiète » ; logique, à la lecture de Libération qui nous apprend qu’il y aurait des « violences contre les migrants aux frontières ». Il est un fait que certains migrants ne sont pas refoulés à coups de plumeau ni menacés d’être privés de thé à cinq heures, lorsqu’ils refusent de regagner courtoisement leurs pénates d’origine. Muscles et képis sont donc la norme en ce genre d’interventions. La Pologne, État souverain jusqu’à plus ample information, persiste donc à ignorer les recommandations d’instances supranationales dont la légitimité démocratique demeure encore à définir. En ligne de mire des autorités européennes, l’autocratique régime de Biélorussie, mené de main ferme par Alexandre Loukachenko. Tenu pour l’homme lige de la Russie, il se servirait de la menace migratoire pour faire entendre ses vues, tel son homologue turc, le président Recep Tayyip Erdoğan. De la géopolitique, loin de l’humanitaire façon Armée du salut.

Ylva Johansson camperait plutôt sur l’option seconde : « J’ai souligné l’importance pour les autorités polonaises de s’assurer de manière transparente que toute législation, politique ou pratique à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie est pleinement conforme à l’acquis communautaire. » C’est-à-dire ? La Pologne a-t-elle ou non le droit de se protéger – elle et nous, par voie de fait – de la déferlante migratoire ? Ou doit-elle faire semblant de le faire en vertu « d’acquis communautaires » aux contours plus que flous ?

Mais que l’on se rassure, Ylva Johansson s’est vite reprise, d’où ce discours prononcé au Forum européen sur la migration, ce 27 octobre : « Les migrants sont une part de nous. […] Nous devons renforcer et souligner un narratif positif sur la migration. Nous ne devons pas avoir peur de la migration, nous ne devons pas avoir peur des migrants. […] Notre société a besoin des migrants, de l’énergie et de l’ambition qu’ils apportent. » Voilà au moins qui est clair. L’Europe aux mains des biznounours.

Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire.

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2 Réponses à “Nul n’est besoin de quitter l’Europe …
Il suffit d’en chasser les progressistes !”

  1. C’est vrai que les migrants sont une part d’eux…
    On voit qu’elle est noire et marron, et meme jaune si on regarde bien avec une grosse loupe ou un telescope, elle aussi les yeux en amande comme les asiates,
    et elle est totalement blanche comme nous…

    Elle se fout de nous, en restant dans le flou,
    elle a oublié l’histoire, la vraie bien sur, mais pas celle des progressistes qui est a geometrie variable qui s’appuis sur une autre histoire que la notre.

    Ces animaux politiques, animés par une moralité
    politique a geometrie variable,
    oublie n
    facilement tout ce qui les derangent.

    En fait, les fameux migrant dont elle se targue d’etre, sont plutot tres largement occidental et blancs.

    Voila cette part de migrant qu’il y a en elle,

  2. la construction de l’UE c’est une idée de Giscard, une idée d’énarque mégalo, qui se voyait président d’une UE fédérale.
    On se retrouve avec cette espèce de sur-administration supranationale, qui a des pouvoirs énormes, et qui n’a aucune légitimité, puisque non élue !
    Alors, on vire ça, la commission, et tous ces hauts, très hauts fonctionnaires, grassement payés, à nous emm3rder, on garde le libre échange, comme du temps de la CEE, et l’euro, puisque en sortir serait désastreux.
    Les Anglais l’ont fait, alors …

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