La question que les journalistes ne se posent jamais …

Publié par le 3 Août, 2021 dans Blog | 4 commentaires

La question que les journalistes ne se posent jamais …

Suis-je à la hauteur de ma fonction ?

Dans une démocratie digne de ce nom, la fonction de journaliste est de première importance et elle suppose qu’elle soit tenue par des professionnels responsables, indépendants et surtout impartiaux.

Durant des décennies, les Etats-Unis furent un modèle pour le journalisme mondial. Le prix Pulitzer, mis en place en 1917, décerné par l’Université Columbia de New York, était considéré comme le plus prestigieux du monde.

Mais le politiquement correct, et pire le « wokisme » et la « cancel culture » sont venus balayer tout ça ! Le progressisme a entrainé la plus grande régression en matière d’éthique du journalisme et d’indépendance de la presse.

Les médias s’informent plus … Ils éduquent !

Les Français, quant à eux, ont une opinion très négative sur les journalistes :

Au lieu de se poser la question de leur propre éthique, les journalistes préfèrent hurler à la liberté de la presse bafouée quand ils sont conspués voire rejetés de certaines manifestations.

Sans jamais se poser la question : pourquoi ?

Voici un article de Valeurs actuelles qui dénonce cet aveuglement des journalistes :

Manifestations anti-passe sanitaire :
“la liberté de la presse a été entravée”, alerte le SNJ

Après de nouvelles manifestations, pour protester contre l’extension du passe sanitaire, le Syndicat national des journalistes (SNJ) a pointé les “atteintes à la liberté” de la presse. 

« Des journalistes pris à partie, des médias pris pour cible »… Ces dernières semaines, des reporters ont été insultés et pris à partie lors de manifestations contre l’extension du passe sanitaire. Après une nouvelle protestation samedi 31 juillet, le Syndicat national des journalistes (SNJ) a lancé un cri d’alerte que relate Le Point ce lundi 2 août. D’après un communiqué du SNJ, « la liberté de la presse a, une nouvelle fois, été entravée lors des manifestations anti-passe sanitaire en France ».

Des reporters visés

En effet, deux journalistes de l’Agence France-Presse (AFP) ont été pris à partie samedi dernier à Paris, étant la cible de crachats et d’injures. Le SNJ condamne ainsi « ces atteintes à la liberté d’informer et d’être informé, d’où qu’elles viennent ». Le même jour, les bureaux de France Bleu à Montbéliard (Doubs) ont été visés, ainsi que ceux du Dauphiné Libéré à Annecy. Dans la ville des Alpes, le tag « collabo » a même été inscrit sur les locaux du quotidien régional. Face à ces violences, l’AFP n’a pas tardé, le lendemain, à dénoncer une « entrave à la liberté d’informer et à l’intégrité de ses journalistes », rappelant son « engagement ferme en faveur d’une information vérifiée, équilibrée, indépendante, sur le terrain ».

Un mouvement en augmentation

Samedi 31 juillet, le nombre de manifestants étaient encore en hausse au niveau national et les débordements n’ont pas manqué à l’appel. Selon une source policière, qui s’est confiée à Valeurs actuelles, quatorze policiers ont notamment été blessés à Paris. Deux d’entre eux ont dû quitter les lieux pour aller consulter à l’hôpital Bichat. Au total, 204 090 personnes sont descendues dans la rue, dont 14 250 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur. Un chiffre en progression, puisque d’après la même source, 114 000 personnes avaient manifesté en France, le 17 juillet, alors qu’elles étaient 161 000 à se rassembler le 24 juillet.

Valeurs actuelles.

Combien de Français prennent-ils au sérieux cet engagement des journalistes :

« Notre engagement ferme en faveur d’une information
vérifiée, équilibrée, indépendante, sur le terrain
 ».

La couverture sanitaire par la presse française des médias de grand chemin n’a montré que servilité vis-à-vis du pouvoir. Non, toutes les informations n’ont pas été vérifiées ! Quant à leur équilibre et leur indépendance, n’en parlons pas !

L’omerta de la presse sur les traitements alternatifs au covid (hydrochloroquine hier, et ivermectine, aujourd’hui) est un scandale absolu puisque des milliers de morts inutiles ont probablement été entrainés par l’interdiction de ces traitements !

Les journalistes aussi auront à répondre de cela devant la justice.

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4 Réponses à “La question que les journalistes ne se posent jamais …”

  1. « Les journalistes aussi auront à répondre de cela devant la justice. »

    C’est une galéjade, ils ne passeront jamais devant la justice, c’est une vue de l’esprit. Il y a belle lurette que je ne crois plus en cette institution et la phrase qui me fait hurler de rire est « je fais confiance à la justice de mon pays. »

    • « la phrase qui me fait hurler de rire est « je fais confiance à la justice de mon pays. » »

      Moi cela me déprime de penser que certains français fassent confiance à ce truc-machin pourri de chez pourri, qui condamne quelqu’un pour une caricature de notre godillot (heu Caudillo) usurpateur en chef d’état du siècle dernier, mais qui ne poursuit pas le Ministre de la Justice, parce que ce caudillo lui confirme sa confiance…

  2. Les médias en France feraient bien de se soumettre au fact-checking en matière de décompte des manifestants et arrêter de nous distiller bêtement les chiffres du pouvoir.

    Du coup, pas de fake-news mais de la fuck-news !!!4

    Tout ceci subventionné avec nos impôts, même ceux des opposants au pouvoir.

  3. Les serpilieres sont encore tres nombreux, ils s’eloignent aussi de toute forme de deontologie, de moralité et preferent le niveau du caniveau, de l’ordure, du mensonge, un ideal pour ces animaux politiques.

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