COVID-19 : qu’en disent les médecins généralistes ?

Publié par le 11 Déc, 2020 dans Blog | 0 commentaire

COVID-19 : qu’en disent les médecins généralistes ?

J’ai à nouveau revisionné entièrement le long mais excellent documentaire « Mal traité » d’Alexandre Chavouet que j’avais rajouté en fin de mon précédent article :

France, ton journalisme d’investigation fout le camp

Si le film Hold Up a été immédiatement qualifié de « complotiste» par la presse unanime, il sera beaucoup plus difficile, pour les béni-oui-oui de la politique sanitaire du gouvernement, de traiter de la même manière ce documentaire.

La force de ce documentaire est d’inclure un grand nombre d’interviews de médecins de ville – ou de famille, comme on dit – qui sentent le vécu et dont le bon sens résonnera, j’en suis sûr, aux oreilles des Français.

J’avoue avoir été très marqué par le visionnage de la vidéo qui a transformé certains de mes doutes sur la connivence entre les labos pharmaceutiques et le pouvoir en quasi-certitudes !

Voici une synthèse des témoignages des médecins les plus significatifs de ce documentaire :

Les 7 péchés capitaux du pouvoir

1 – Le ministre de la santé à interdit des traitements qui fonctionnaient !

Le docteur Jean-Jacques Erbstein, généraliste, 25 ans de pratique médicale dans l’Est, dit avoir d’abord respecté scrupuleusement la doxa gouvernementale qu’il résume par :

la règle des 4 D : Doliprane, Dodo, Domicile, Décès.

Ayant vu mourir trop de patients, avec deux autres confrères, ils décident d’utiliser le traitement qu’ils avaient en tête depuis le début de la pandémie : azytromicine, anti-coagulant, un médicament pour l’aider à respirer, et du zinc à propriété anti-virale.

Ils traitent à eux tous près de 200 patients. Bilan : 0 hospitalisation et 0 décès !

2 – Le Conseil de l’ordre interdit au docteur de communiquer sur ces bons résultats

Le docteur Erbstein publie une tribune dans l’Est républicain pour partager leurs observations. Deux jours après le médecin reçoit un coup de fil du président du Conseil de l’Ordre : « Vous faites ce que vous voulez mais vous arrêtez toute communication ! »

3 – Et puis vient l’interdiction d’utiliser l’hydrochloroquine !

Le docteur Eric Ménat est remonté contre les mesures gouvernementales.  Après avoir déconseillé aux patients d’aller voir leur médecin, on a dit aux médecins qu’ils n’étaient pas capables de juger si un patient pouvait ou non prendre de l’hydrochloroquine alors qu’ils le faisaient depuis 30 ans !

C’était une atteinte caractérisée et insupportable au droit de prescrire !

Il s’insurge : « La soi-disant dangerosité de l’hydrochloroquine est la plus belle plaisanterie médicale et scientifique inventée depuis le début de cette pandémie ! Non vraiment, on s’est moqué de nous ! »

Il rappelle qu’en 2009, la Haute Autorité de Santé avait réévalué l’hydrochloroquine avec la conclusion suivante : médicament toujours aussi efficace, et toujours aussi peu dangereux ! Et elle autorisa même sa vente sans ordonnance !

De plus, l’hydrochloroquine est habituellement prescrite pendant des mois alors que pour le coronavirus, c’était seulement des protocoles de 10 jours !

4 – Quid du remdesivir versus l’hydrochloquine

Dans le documentaire plusieurs médecins dénoncent le scandale énorme suivant :

  • Les autorités de santé ont interdit l’hydrochloquine, un médicament connu depuis 70 ans, efficace dans la première phase du Covid, dépourvu d’effets secondaires en traitement de courte durée et très bon marché (4 euros).
  • Les mêmes autorités de santé ont, simultanément, autorisé l’utilisation du remdesivir, médicament inefficace et entrainant de graves insuffisances rénales, de plus hors de prix (2 à 4 000 euros !)

5 – Pourtant la chloroquine était massivement utilisée dans le monde

Le professeur Christian Perronne indique que les pays où la létalité est la plus élevée, sont les pays les plus riches qui sont le plus sous l’influence des labos pharmaceutiques.

Les pays plus pauvres qui n’avaient pas les moyens s’en sont bien mieux sortis avec des médicaments pas chers comme l’hydrochloroquine !

La Chine, la Russie et l’Inde recommande l’utilisation de l’hydrochloroquine.

6 – On a négligé bien d’autres médicaments !

Le Docteur Eric Ménat parle de la vitamine D :

La vitamine est absolument essentielle. Elle réduit les infections hivernales. Elle renforce les défenses immunitaires. Je ne comprends pas que l’on ait pas demandé à la population de contrôler leur taux de vitamine D !

Le zinc est également un stimulant immunitaire qui réduit le risque et la gravité des infections virales. C’est dommage qu’on ait pas informé les Français, notamment dans les Ehpad, de ça. Mais ça ne rapporte rien à personne …

C’est la même chose pour la vitamine C !

Le problème c’est que les spécialistes qui ont géré cette crise n’ont pas cette culture ! La seule prévention qu’ils connaissent contre les maladies infectieuses, ce sont les vaccins !

7 – Les médecins dénoncent la gestion de la crise par la peur !

Une nouvelle fois, le docteur s’insurge : « Ce qui me met le plus en colère, aujourd’hui, c’est la peur que l’on a introduit chez la plupart de nos concitoyens. On a joué avec cette peur. On l’a entretenue. »

Et c’est dramatique parce que le stress fait chuter le système immunitaire. Quand on nous donne le nombre de morts, pourquoi ne pas dire que ces gens qui meurent ont tel âge, ont telle morbidité.

En conclusion

Tous ces témoignages convergent vers l’hypothèse de la connivence des autorités de santé avec les laboratoires pharmaceutiques.

Comment interpréter sinon le traitement de faveur pour un remdesivir inefficace et dangereux et l’acharnement simultané contre l’Hydrochloroquine dont les médecins de ville avaient largement vérifié l’efficacité sur le terrain ?

Quand le conseil de l’ordre interdit à un médecin de communiquer sur les bons résultats de son protocole, cela confine à la non assistance à personnes en danger !

L’hypothèse d’une volonté d’interdire tout traitement de la maladie de façon à rendre inéluctable (voire obligatoire) la vaccination se trouve renforcée par tous ces témoignages de médecins indépendants.

C’est extrêmement grave !

Le seul critère du gouvernement, c’est le taux de remplissage des lits de réanimation pour une maladie, rappelons-le, qui tue très peu !

Mais si on avait laissé les médecins de ville faire leur travail, si on les avait laissé soigner les gens, avec l’Hydrochloroquine, avec le zinc et les vitalines D et C, on peut imaginer que le nombre d’hospitalisations aurait été énormément réduit.

Et donc qu’on aurait peut-être pu éviter le confinement général de la population !

C’est une perspective vertigineuse pour l’économie sans compter les dizaines de milliers de morts qu’on aurait peut-être pu éviter !

Je vous propose à nouveau la vidéo du documentaire d’Alexandre Chavouet :

J’ajoute un autre témoignage concernant un autre médicament, l’ivermectine, qui semble être efficace contre le Covid-19 et qui lui aussi, a été bloqué par les autorités sanitaires et par la justice :


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